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Archives de Tag: Belfond

Des hommes sans femmes – Haruki Murakami

14 dimanche Mai 2017

Posted by Aurélie in Romans étrangers

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Belfond, conseils de lecture, Critique de livre, Des hommes sans femmes, Haruki Murakami, idées de lecture, Livres, nouvelles, quoi lire

Les premières phrases

«  Kafuku était monté un certain nombre de fois dans des voitures conduites par des femmes et son expérience l’amenait à classer les conductrices en deux catégories : celles qui étaient un peu trop agressives et celles qui étaient un peu trop prudentes. Les dernières étaient infiniment plus nombreuses que les premières – de quoi sans nul doute se réjouir. En somme, les femmes étaient en général plus polies et conduisaient leur véhicule avec plus de prudence que les hommes. Bien entendu, on n’allait pas se plaindre de la politesse ou de la prudence d’un chauffeur, même si ce style de conduite pouvait irriter les autres conducteurs. »

Circonstances de lecture

Parce que c’est Haruki Murakami.

Impressions

Ce recueil de nouvelles d’un de mes auteurs préférés est un petit délice de lecture. Ne vous fiez pas aux premières phrases (vive les généralités sur les femmes et leur conduite !), elles ne sont pas représentatives du reste du livre ! Dans chacune des nouvelles, Haruki Murakami nous plonge dans des moments de vie d’hommes seuls, amoureux, nostalgiques… Les relations hommes / femmes sont à chaque fois différentes et émouvantes. La solitude est encore une fois au cœur de ces histoires. Ma préférée : « Yesterday ». Un vrai bonheur de lecture !

Un passage parmi d’autres

 – Rêves-tu encore aujourd’hui à la lune de glace ? lui demandai-je.

Elle releva la tête d’un geste brusque et me regarda. Puis un sourire s’épanouit sur son visage. Très lentement. Un merveilleux sourire, totalement naturel.

 » Tu te souviens encore de mon rêve ?

– Je ne sais pas pourquoi, mais oui.

– Alors que c’est le rêve de quelqu’un d’autre ?

– Les rêves, c’est le genre de choses que l’on peut emprunter ou prêter, si besoin est. J’en suis persuadé. »

Haruki Murakami – Des hommes sans femmes – mars 2017 (Belfond)

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La magie des livres en images…

25 lundi Jan 2016

Posted by Aurélie in En image

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à lire, beau livre, Belfond, Critique de livre, Haruki Murakami, l'étrange bibliothèque, quoi lire

« L’étrange bibliothèque » de Haruki Murakami : un superbe livre illustré. Une véritable petite pépite ! Haruki Murakami - L'étrange bibliothèque - Couverture Haruki Murakami - L'étrange bibliothèque - Pages intérieures 2Haruki Murakami - L'étrange bibliothèque - Pages intérieures

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Les amants du Spoutnik – Haruki Murakami

13 dimanche Déc 2015

Posted by Aurélie in Romans étrangers

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Belfond, Critique de livre, Editions 10/18, Haruki Murakami, idées de lecture, lecture, Les amants du Spoutnik, Livre, quoi lire, roman

Haruki Murakami - Les amants du SpoutnikLes premières phrases

 » Au printemps de sa vingt-deuxième année, Sumire tomba amoureuse pour la première fois de sa vie. Cet amour aussi dévastateur qu’une tornade dans une vaste plaine ravagea tout sur son passage, lançant des choses dans les airs, les réduisant en menus morceaux, les écrabouillant sans ménagement. Avec une violence qui ne connaissait pas un instant de relâchement, la tornade souffla sur les océans, réduisit sans pitié le site d’Angkor Vat à néant, incendia la jungle indienne et les malheureux tigres qui y vivaient encore, se mua au-dessus des déserts de Perse en une tempête de sable qui engloutit toute une ville fortifiée au charme exotique. L’objet de cet amour absolument mémorable était marié, avait dix-sept ans de plus que Sumire et, surtout, était une femme. C’est de là que partit toute cette histoire, et là aussi qu’elle s’acheva (ou presque). »

Circonstances de lecture

Parce que c’est Haruki Murakami…

Impressions

J’adore Haruki Murakami et c’est avec un grand plaisir que je me suis replongée dans son univers, avec ce roman, « Les amants du Spoutnik » que je n’avais pas encore lu. On y retrouve Sumire, une jeune fille qui, n’étant encore jamais tombée amoureuse, se met à aimer passionnément une femme plus âgée qu’elle de 17 ans. Son meilleur ami l’écoute raconter cette rencontre et l’histoire qui s’ensuivit. Jusqu’à ce que Sumire disparaisse subitement, comme envolée en fumée, sur une petite île grecque…

Avec « Les amants du Spoutnik », on sent qu’Haruki Murakami avait déjà posé les bases de ce qui deviendrait sa trilogie « 1Q84 » : une lune mystérieuse, un amour ravageur, et cette frontière si ténue entre la réalité et le monde du rêve.

Un passage parmi d’autres

 Comment puis-je éviter la collision (boum) sans pour autant réfléchir sérieusement (c’est-à-dire en restant allongée dans mon champ, à regarder les nuages passer, à écouter l’herbe pousser) ? Difficile ? Mais non mais non. D’une façon purement logique, rien de plus facile. C’est simple. Il suffit de rêver. Rêver sans cesse. Entrer dans le monde des songes, et ne plus en ressortir. Vivre éternellement dedans.

Car, dans les rêves, il n’est pas nécessaire d’établir des distinctions entre les choses. Pas du tout nécessaire. Les frontières n’existent pas. Et du coup, dans les rêves, les collisions se produisent rarement. Même quand il y en a, elles ne sont pas douloureuses. La réalité, c’est différent. La réalité, ça mord.

Haruki Murakami – Les amants du Spoutnik – 2003 (10/18, Belfond)

 

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L’incolore Tsukuru Tazaki et ses années de pèlerinage – Haruki Murakami

20 samedi Sep 2014

Posted by Aurélie in Romans étrangers

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Belfond, Critique de livre, Haruki Murakami, L'incolore Tsukuru Tazaki et ses années de pèlerinage, roman

Haruki Murakami - L'incolore Tsukuru Tazaki et ses années de pèlerinageLes premières phrases

«  Depuis le mois de juillet de sa deuxième année d’université jusqu’au mois de janvier de l’année suivante, Tsukuru Tazaki vécut en pensant presque exclusivement à la mort. Son vingtième anniversaire survint durant cette période mais cette date n’eut pour lui aucune signification particulière. Pendant tout ce temps, il estima que le plus naturel et le plus logique était qu’il mette un terme à son existence. Pourquoi donc, dans ce cas, n’accomplit-il pas le dernier pas ? Encore aujourd’hui il n’en connaissait pas très bien la raison. A cette époque, il lui paraissait pourtant plus aisé de franchir le seuil qui sépare la vie de la mort que de gober un œuf cru.

Il est possible que le motif réel pour lequel Tsukuru ne se suicida pas fut que ses pensées de la mort étaient si pures et si puissantes qu’il ne parvenait pas à se représenter concrètement une manière de mourir en adéquation avec ses sentiments. Mais l’aspect concret des choses n’était qu’une question secondaire. Si, durant ces mois, une porte ouvrant sur la mort lui était apparue, là, tout près de lui, il l’aurait sans doute poussée sans la moindre hésitation. Il n’aurait eu nul besoin de réfléchir intensément. Cela n’aurait été qu’en enchaînement des choses simple et ordinaire. Pourtant, par bonheur ou par malheur, il n’avait pas été capable de découvrir ce genre de porte à proximité immédiate. »

Circonstances de lecture

Parce que c’est Haruki Murakami…

Impressions

J’adore l’écriture et les histoires de Haruki Murakami, toujours à la frontière du réel et de l’imaginaire. « L’incolore Tsukuru Tazaki et ses années de pèlerinage » ne déroge pas à la règle.

On apprend dès le départ que Tsukuru a vécu plusieurs mois de sa vie universitaire avec des idées suicidaires en tête. La raison ? Il a été rejeté du jour au lendemain, sans aucune explication, par son groupe d’amis. Des amis avec lesquels il était inséparable durant ses années de lycée à Nagoya. Seize ans plus tard, une jeune femme, Sara, le pousse à rechercher la raison de ce rejet, voyant en lui une blessure qui ne s’est pas refermée. Recherche de la vérité, exploration du thème de l’amitié, mal-être, différence, solitude… Autant de sujets que Murakami aborde dans ce roman avec une grande justesse, toujours à la lisière de la réalité et de l’imaginaire. De très beaux passages me resteront en tête. Un des meilleurs romans de Haruki Murakami. Mon coup de cœur de la rentrée !

Un passage parmi d’autres

 A considérer l’ensemble de leur vie, on pouvait affirmer que ces cinq amis avaient bien plus de points communs que de différences.

Pourtant, le hasard avait voulu que Tsukuru Tazaki se distingue légèrement sur un point : son patronyme ne comportait pas de couleur. Les deux garçons s’appelaient Akamatsu – Pin rouge -, Ômi – Mer bleue -, et les deux filles, respectivement Shirane – Racine blanche – et Kurono – Champ noir. Mais le nom « Tazaki » n’avait strictement aucun rapport avec une couleur. D’emblée, Tsukuru avait éprouvé à cet égard une curieuse sensation de mise à l’index. Bien entendu, que le nom d’une personne contienne une couleur ou non ne disait rien de son caractère. Tsukuru le savait bien. Néanmoins, il regrettait qu’il en soit ainsi pour lui. Et, à son propre étonnement, il en était plutôt blessé. D’autant que les autres, naturellement, s’étaient mis à s’appeler par leur couleur. Rouge. Bleu. Blanche. Noire. Lui seul demeurait simplement « Tsukuru ». Combien de fois avait-il sérieusement pensé qu’il aurait été préférable que son patronyme ait eu une couleur ! Alors, tout aurait été parfait.

Haruki Murakami – L’incolore Tsukuru Tazaki et ses années de pèlerinage – 2014 (Belfond)

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En même temps, toute la terre et tout le ciel – Ruth Ozeki

03 mardi Déc 2013

Posted by Aurélie in Romans étrangers

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Belfond, Critique de livre, En même temps toute la terre et tout le ciel, roman, Ruth Ozeki

Ruth Ozeki - En même temps, toute la terre et tout le cielLes premières phrases

«  HELLO ! 

Je m’appelle Nao, et je suis un être-temps. Vous savez ce que c’est, un être-temps ? Non? Eh bien, si vous avez un moment, je vais vous le dire.

Un être-temps, c’est quelqu’un comme vous et moi, comme chacun de nous qui est, a été ou sera un jour. Quelqu’un qui vit dans le temps. Moi, par exemple, je suis en ce moment à Akihabara Electric Town, dans un maid café français. J’écoute une chanson triste, une chanson que vous avez déjà entendue par le passé, qui est également mon présent, où j’écris ces mots, où je m’interroge sur vous qui faites partie de mon futur. Et si vous lisez ces lignes, peut-être que vous aussi vous vous posez des questions sur moi.

Vous vous posez des questions sur moi.

Je me pose des questions sur vous.

Vous êtes qui, et vous faites quoi ?

Etes-vous dans le métro à New York ou dans un jacuzzi à Sunnyvale ?

En train de vous prélasser sur une plage de sable fin à Phuket ou de vous faire faire les ongles à Saint-Tropez ?

Homme ou femme ? Entre les deux peut-être ?

C’est votre copine qui vous prépare un bon petit plat ou est-ce que vous mangez des nouilles froides directement dans la barquette ?

Êtes-vous roulé sous la couette, dos à votre épouse qui ronfle, ou alanguie sur un lit, impatiente que votre bel amant sorte du bain, pour lui faire l’amour avec passion ?

Vous avez un chat, une femelle ? Est-elle installée sur vos genoux ? Quand vous posez le nez sur son front, est-ce que vous sentez le cèdre et l’air frais ?

En fait, on s’en fout un peu, puisque le temps que vous lisiez ce passage, tout aura déjà changé, et le lieu où vous serez n’aura pas grande importance. Vous tournerez avec désinvolture les pages de ce livre qui se trouve être le journal de mes derniers instants sur terre en vous demandant si ça vaut le coup de continuer.

Si vous décidez d’arrêter là, franchement, pas de problème. Vous n’étiez pas la personne que j’attendais, de toute façon. Mais si vous poursuivez votre lecture, alors je vais vous dire : vous êtes tout à fait mon genre d’être-temps, et entre nous ça va être magique ! »

Circonstances de lecture

Acheté un peu au hasard dans ma librairie. Une belle découverte.

Impressions

Il est de ces livres que l’on savoure du début à la fin, à la fois bien écrit, réfléchi et magique. « En même temps, toute la terre et tout le ciel » de Ruth Ozeki fait partie de ces romans-là. Dans la lignée de Haruki Murakami, l’auteur nous transporte entre deux mondes : celui de Ruth, écrivain en panne d’inspiration, habitant sur une île reculée de la baie Désolation au Canada ; et celui de Nao, une ado japonaise mal dans sa peau. Parce qu’un jour Ruth découvre sur la plage le journal intime de cette lycéenne, leurs deux mondes se retrouvent imbriqués.

Ici, Ruth Ozeki traite de la vie, de la mort, de la philosophie zen, des affres de l’adolescence, du harcèlement à l’école, du suicide, des kamikazes, du tsunami, du 11 septembre, de la mémoire, du temps qui passe… Le tout savamment orchestré pour former une histoire que l’on n’est pas prêt d’oublier. Ruth Ozeki, écrivez vite un nouveau roman ! Je l’attends avec impatience !

Un passage parmi d’autres

 Je n’ai pas vraiment l’âme d’un poète, et tout est question d’images et d’interprétation dans les haïkus. Pourtant, quand j’ai lu le poème de ma Jiko, une vision s’est formée dans mon esprit, celle d’un arbre, un vieux ginkgo gigantesque au pied de son temple. Les feuilles du ginkgo ont la forme de petits éventails. Quand vient l’automne, elles prennent une couleur jaune vif, et en tombant elles recouvrent le sol d’un manteau doré, alors j’ai pensé que ce vieil arbre était sûrement un être-temps, tout comme Jiko est un être temps, et je me suis vue en train de chercher le temps perdu parmi les feuilles tombées au pied de l’arbre comme des mots éparpillés.

En même temps, toute la terre et tout le ciel – Ruth Ozeki – 2013 (Belfond)

 

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