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~ Parce qu'il n'y a rien de mieux qu'un livre pour s'évader…

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Archives de Tag: Critique de livre

Une prière pour les cimes timides – Becky Chambers

28 mardi Fév 2023

Posted by Aurélie in Romans étrangers, SF

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Becky Chambers, conseils de lecture, Critique de livre, idées de lecture, L'Atalante, lecture, Livres, quoi lire, roman, SF, SF optimiste

BECKY-CHAMBERS_moine-robot2_dos9.5.inddLes premières phrases

«  Le truc, quand on envoie chier toutes ses obligations pour aller crapahuter dans la forêt, c’est qu’à moins d’être vraiment l’exception on comprend très vite pourquoi les êtres humains ont quitté les forêts. Ce n’est pas par hasard qu’on a inventé les maisons ; de même que les chaussures, le tout-à-l’égout, les oreillers, les radiateurs, les lave-linge, la peinture, les lampes, le savon, les frigos et tout ce dont on imagine mal avoir à se passer. Froeur Dex avait eu besoin – un besoin vital – de découvrir le monde tel qu’il était une fois dépouillé de toutes les constructions, de comprendre viscéralement que la vie ne se résumait pas à ce qui se passait entre quatre murs, que les gens n’étaient au bout du compte que des animaux habillés, soumis aux lois de la nature et aux caprices du hasard, au même titre que toutes les créatures qui vivaient et mouraient dans l’univers.  » 

Circonstances de lecture

Parce que j’avais adoré le tome 1, Psaume pour les recyclés sauvages.

Impressions

Quel plaisir de retrouver Froeur Dex et le robot Omphale sur les routes de Panga ! En ouvrant ce deuxième tome d’Histoires de moine et de robot, j’ai eu la sensation de retrouver deux vieux amis. Et la terrible envie de faire durer ces pages pour ne pas les quitter… A leur côté, j’ai pris le temps de contempler les cimes des arbres, le bleu du ciel, le clapotement de l’eau. J’ai profité des petits bonheurs de la vie, et je me suis accordée le droit de changer de chemin, quitte à faire un détour. On n’a qu’une vie après tout… Alors, autant prendre le temps de faire la connaissance des êtres que l’on croise et d’apprendre aussi à mieux se connaître soi-même. Ce texte fait un bien fou ! Il remonte le moral tout en nous questionnant sur le sens de la vie. Une séance de psychanalyse et de philosophie tout en douceur.

Becky Chambers – Une prière pour les cimes timides – Mars 2023 – L’Atalante 

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Crescent City – Sarah J.Maas

05 jeudi Août 2021

Posted by Aurélie in Fantastique, Fantasy

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Bit-lit, conseils de lecture, Crescent City, Critique de livre, De Saxus, Fantastique, Fantasy, idées de lecture, lecture, Livre, quoi lire, roman, Sarah J.Maas

Sarah J.Maas - Crescent CityLes premières phrases

«  Il y avait un loup devant l’entrée de la galerie.

On devait donc être jeudi, ce qui signifiait que Bryce était vraiment épuisée si elle comptait sur les allées et venues de Danika pour savoir quel jour on était.

La lourde porte métallique des Antiquités Griffin vibra sous l’impact du poing lupin – un poing qui se terminait, Bryce le savait, par des ongles violet métallisé ayant grand besoin d’une manucure. Une voix féminine se mit à aboyer un instant plus tard, à moitié étouffée par l’acier : « Allez, B, dépêche-toi de m’ouvrir. Il fait une chaleur d’Anfer ici ! »  »

Circonstances de lecture

Parce que j’avais très envie de découvrir l’univers de Sarah J. Maas.

Impressions

« Crescent City » redonne ses lettres de noblesse à la bit-lit. Si vous aimez la fantasy urbaine, les êtres surnaturels, les enquêtes fantastiques (sans prise de tête) et les histoires d’amour, foncez ! Le rythme va crescendo jusqu’à un final époustouflant. Avec en prime un beau message sur le métissage et la tolérance. Seul bémol : le style d’écriture, trop familier à mon goût. J’attends cependant la suite avec impatience !

A noter : la version reliée est superbe…

Sarah J. Maas – Crescent City – mai 2021 – De Saxus

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Hamnet – Maggie O’Farrell

04 mercredi Août 2021

Posted by Aurélie in En VO, Romans étrangers

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conseils de lecture, Critique de livre, Hamnet, idées de lecture, lecture, Livre, Maggie O'Farrell, quoi lire, roman, Shakespeare, Tinder Press

Les premières phrases

«  A boy is coming down a flight of stairs. 

The passage is narrow and twists back on itself. He takes each step slowly, sliding himself along the wall, his boots meeting each tread with a thud.

Near the bottom, he pauses for a moment, looking back the way he has come. Then, suddenly resolute, he leaps the final three stairs, as is his habit. He stumbles as he lands, falling to his knees on the flagstone floor.  »

Circonstances de lecture

Parce que les livres sur Shakespeare m’intéressent.

Impressions

Lire « Hamnet », c’est suivre les pas de ce petit garçon qui, on le sait, n’a plus que quelques heures à vivre. C’est revivre avec lui l’amour naissant de ses parents, le balbutiement de la carrière de son père, Shakespeare, les sublimes étrangetés de sa mère, Agnès, qui sait lire dans la paume de la main et dans le cœur des hommes. Un texte magnifique, forcément triste, mais d’une beauté qui réchauffe le cœur. Émotions garanties.

Maggie O’Farrell – Hamnet – mars 2020 – Tinder Press (paru chez Belfond en français)

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La Fille aux mains magiques – Nnedi Okorafor et Zariel

02 lundi Août 2021

Posted by Aurélie in Fantasy

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Actusf, conseils de lecture, Critique de livre, Fantasy, idées de lecture, lecture, Livre, Nnedi Okorafor, quoi lire, roman

Nnedi Okorafor - La Fille aux mains magiquesLes premières phrases

«  Avez-vous déjà contemplé une peinture ou une sculpture qui vous tire un sourire ? Qui vous fasse pleurer ? Rire ? Ou trembler de peur ? Qui vous incite à vous demander si l’artiste n’a pas trop bu de bière ?

Incroyable, comme un simple regard sur une œuvre d’art peut nous faire ressentir des choses si puissantes. Comme si l’artiste avait jeté un sort sur le bout de toile ou sur la sculpture de bois. Et s’il vous dessinait dessus ? Le sortilège fonctionnerait-il encore ? »

Circonstances de lecture

Parce que cette couverture est tellement belle !

Impressions

Voici une histoire belle et touchante, magnifiquement illustrée par Zariel ! Un bel hommage à l’art et en particulier au dessin, qui va permettre à une petite fille malheureuse de transformer sa vie et celle de ses proches. De l’African Fantasy dépaysante où se mêlent les esprits de la forêt, la transmission et la magie du dessin. Un petit bijou. Simple et superbe.

Nnedi Okorafor & Zariel – La Fille aux mains magiques – mai 2021 – Actusf Graphic

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La dixième muse – Alexandra Koszelyk

16 mardi Fév 2021

Posted by Aurélie in Romans français

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Alexandra Koszelyk, Aux Forges de Vulcain, Critique de livre, Guillaume Apollinaire, idées de lecture, La dixième muse, lecture, Livre, Poésie, quoi lire, roman

Les premières phrases

«  C’est là, ça serpente, caché de tous, sous nos pieds, à l’image de ces millions de fourmis qui peuplent les forêts, ça monte lentement, en silence, comme ces chants que personne n’entend, les feuilles se gorgent puis éclatent comme un feu d’artifice qui prendrait tout son temps. Fil ténu relié au reste du monde qui monte en cadence jusqu’à l’explosion finale. Bientôt, les feuilles bordent l’allée de leurs verts flamboyants et forment une arche protectrice. 

Alors seulement on la voit, on prend conscience de son éclat. « 

Circonstances de lecture

Parce que j’avais beaucoup aimé le premier roman de cette auteur, A crier dans les ruines.

Impressions

Pour ce deuxième roman, Alexandra Koszelyk nous propose un voyage onirique et fantastique sur les traces de Guillaume Apollinaire et des femmes qu’il a aimées et qui lui ont inspiré ses plus beaux poèmes. Grâce à la magie cachée dans un morceau de bois, son héros, Florent, revit des bribes de la vie du grand poète. Une belle échappée, où la nature occupe une place de choix. Une lecture qui donne envie de relire de la poésie, aussi.

Alexandra Koszelyk – La dixième muse – Janvier 2021 – Aux Forges de Vulcain

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The Bone Season – Samantha Shannon

09 mardi Fév 2021

Posted by Aurélie in Fantasy, Romans étrangers, SF

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Critique de livre, De Saxus, Fantasy, idées de lecture, lecture, Livre, quoi lire, roman, Samantha Shannon, science fiction, SF, The Bone Season

Les premières phrases

«  J’aime à croire que nous étions initialement plus nombreux. Pas des milliards, mais plus qu’aujourd’hui.

Nous sommes la minorité que l’humanité refuse d’accepter. Au moins dans le cadre de la réalité, mais même l’imagination est sujette à restrictions. Nous ressemblons à tout le monde. Parfois, nous nous comportons comme tout le monde. Par bien des manières, nous sommes comme tout le mode. Nous sommes partout, dans chaque rue. Nous vivons d’une façon que vous pourriez juger normale, à condition de ne pas y regarder de trop près.

Nous ne savons pas tous ce que nous sommes. Certains d’entre nous meurent sans jamais l’apprendre. D’autres le découvrent, et ne se font jamais attraper. Mais nous sommes là.

Croyez-moi. « 

Circonstances de lecture

Parce que ce livre des éditions De Saxus me faisait très très envie !

Impressions

Après Nevernight de Jay Kristoff, voici le second roman que je lis des éditions De Saxus. Et je dois dire que je suis conquise. J’ai dévoré The Bone Season, et même si j’ai été un petit peu déçue par la fin (trop précipitée à mon goût), j’ai beaucoup aimé cette lecture. On est plongé dans un monde totalitaire où les anormaux – entendez par là des personnes dotées de dons de voyance de différents niveaux – sont traqués. Paige est une clairvoyante, une « Marcherêve ». Et à ce titre, elle se retrouve emprisonnée dans la ville d’Oxford, sous l’emprise d’êtres mystérieux, les Réphaïm. Je n’en dirais pas plus pour ne pas vous gâcher la découverte de ce roman. Sachez juste que si vous aimez la SF, la Fantasy et les héroïnes au caractère bien trempé, vous devriez aimer ce page-turner. Attention, cependant, sept tomes sont prévus !

Samantha Shannon – The Bone Season – Novembre 2020 (De Saxus)

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Blackwood – Michael Farris Smith

16 samedi Jan 2021

Posted by Aurélie in En VO, Fantastique, Romans étrangers

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Blackwood, Critique de livre, Fantastique, idées de lecture, lecture, Little Brown, Livre, Michael Farris Smith, quoi lire, roman, Roman noir

Les premières phrases

«  Colburn was standing with his mother in the kitchen when she said go fetch your father. The long light of an August day bleeding through the windows. His face and hands dirty from playing football in the neighbor’s yard. His mother wiped the sweat from his face with a dishtowel. Held his chin in her hand and gazed at him. You’ll be twelve soon. I can’t believe it. He asked where his father was and she said out back in the workshop. Go tell him it’s time for supper. The boy noticed the empty bottle on the counter, beneath the high cabinet where his father kept his whiskey, and he picked up the bottle and unscrewed the cap and sniffed and it burned through his nose and his mother laughed when he winced and then told him that should teach you all you need to know about that stuff. Don’t ever bother with it. Not now nor ever. And then the smile left her face and her eyes drifted out of the kitchen window and into the backyard. Her eyes drifted toward the workshop where his father hid most days when he came home from work. Sometimes the buzz of a saw or pouding of a hammer but mostly silence from the workshop. Her eyes drifted and an emptiness came across her face.   »

Circonstances de lecture

Parce que Michael Farris Smith fait partie de mes auteurs préférés.

Impressions

Michael Farris Smith nous plonge avec « Blackwood » au sein d’une petite ville du Mississippi en apparence sans histoire… jusqu’à ce que Colburn, parti alors qu’il n’était qu’un enfant, y remette les pieds, et qu’un couple étrange accompagné d’un jeune garçon traînent leur misère et leur caddie dans le centre-ville, pour y faire les poubelles. L’ombre du passé refait alors surface.

Voici une histoire sombre à l’atmosphère envoûtante, avec une pointe de fantastique. On ressent l’oppression du kudzu, cette plante grimpante qui semble vouloir recouvrir la ville et ses habitants, et les faire sombrer dans la folie. Encore une fois, Michael Farris Smith signe un très beau livre. Un auteur américain à ne pas rater !

Ma sœur m’a offert cette superbe édition à Noël. Il devrait sortir en français chez Sonatine en avril 2021.

Michael Farris Smith – Blackwood – Mars 2020 – Little Brown

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Ce matin-là – Gaëlle Josse

08 vendredi Jan 2021

Posted by Aurélie in Romans français

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Ce matin-là, Critique de livre, dépression, Gaëlle Josse, idées de lecture, lecture, Livre, Notabilia, quoi lire, roman

Les premières phrases

«  « The End » s’affiche en noir et blanc sur l’écran de la télévision, en majuscules fixes et tremblotantes, pendant que la musique du générique enveloppe la pièce d’un envol symphonique, cordes, trompettes et cavalcade. Clara passe le dimanche soir chez ses parents, une habitude. Ils dînent, regardent un film, puis elle va.   »

Circonstances de lecture

Parce que c’est Gaëlle Josse.

Impressions

« Ce matin-là », c’est un matin que l’on peut tous connaître un jour, que vous avez peut-être vous aussi déjà connu… Celui où la vie semble brusquement trop dure à porter et où le corps craque. Les jambes ne vous portent plus, les larmes ne cessent de couler sans raison apparente. Gaëlle Josse offre ce roman pour dire que si, il est normal de « pleurer autant », il est normal de devoir mettre le monde sur pause pour se retrouver et redonner un sens à sa vie, pour sortir de la dépression. C’est un livre pansement qui fait du bien, comme la main tendue d’une amie. À mettre entre toutes les mains, les fragiles comme les plus robustes.

Gaëlle Josse – Ce matin-là – Janvier 2021 (Notabilia)

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Nevernight – Jay Kristoff

01 mardi Déc 2020

Posted by Aurélie in Fantasy

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Critique de livre, De Saxus, Fantasy, idées de lecture, Jay Kristoff, lecture, Livre, Nevernight, quoi lire, roman

Les premières phrases

«  Les gens se chient souvent dessus lorsqu’ils trépassent.

Leurs muscles se relâchent, leur âme se libère, et tout le reste… s’échappe. Malgré tout l’amour que leur public porte à la mort, les dramaturges font rarement mention de cette réalité. Quand le héros rend son dernier soupir dans les bras de l’héroïne, ils n’attirent pas l’attention sur la tâche qui apparaît sur ses collants ni sur la puanteur qui fait pleurer sa dame lorsqu’elle se penche pour son baiser d’adieu.

Prenez cela pour un avertissement, ô, chers amis : sachez que votre narrateur ne partage pas cette retenue. Et si les réalités désagréables d’un bain de sang liquéfient le contenu de vos intestins, sachez aussi que ces pages parlent d’une fille qui était au meurtre ce que les maestros sont à la musique. Qui faisait aux fins heureuses ce qu’une lame de scie fait à la peau.   »

Circonstances de lecture

Qui pourrait résister à cette couverture ?!

Impressions

Prenez une héroïne au caractère affirmé, un « non-chat » protecteur, des ombres inquiétantes, une histoire de vengeance familiale, une école d’assassins où les élèves n’hésitent pas à s’entretuer pour devenir une « lame » au service de l’Église rouge, et vous obtenez un roman de fantasy très bien ficelé que j’ai dévoré ! C’est drôle, sanglant, violent, prenant. Je n’ai qu’une envie : que la suite sorte pour pouvoir m’y oublier un temps et savoir ce que va devenir Mia Corvere, cette jeune fille qui joue avec les ombres et parle aux ténèbres. Une réussite et un gros coup de cœur !

Jay Kristoff – Nevernight – Octobre 2020 (De Saxus)

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Les villes de papier – Dominique Fortier

04 mercredi Nov 2020

Posted by Aurélie in Romans français

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Critique de livre, Dominique Fortier, Emily Dickinson, Grasset, idées de lecture, lecture, Les villes de papier, Livre, quoi lire, roman, roman historique

Les premières phrases

«  Emily est une ville de bois blanc nichée au milieu de prairies de trèfle et d’avoine. Les maisons carrées y ont des toits en pente, des volets bleus qu’on ferme à l’approche du soir et des cheminées par lesquelles il arrive que s’engouffre un oiseau qui volera, éperdu, les ailes pleines de suie, par toutes les chambres. Plutôt que de tenter de le chasser, on l’adoptera pour apprendre son chant.   »

Circonstances de lecture

Parce que j’avais envie d’en apprendre un peu plus sur Emily Dickinson.

Impressions

Dans « Les villes de papier », Dominique Fortier se plaît à imaginer la vie de la poétesse Emily Dickinson, cette femme dont on ne connaît que très peu de choses. A travers les lieux où elle a vécu, Dominique Fortier nous parle de cette femme qui préféra toute sa vie les livres, l’écriture, son jardin et la pâtisserie, à la compagnie des hommes.

C’est une lecture douce, délicate, emplie d’odeurs florales, du souffle de la brise entrant par la fenêtre, du bruit de la plume traçant des vers sur des petits bouts de papier. Une ode à cette figure emblématique de la poésie, à l’écriture, à l’imagination, à l’indépendance, et au choix de faire un pas de côté pour affirmer sa différence et vivre comme bon nous semble.

Dominique Fortier – Les villes de papier – Septembre 2020 (Grasset)

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