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Love In Books

~ Parce qu'il n'y a rien de mieux qu'un livre pour s'évader…

Love In Books

Archives de Catégorie: En VO

Hamnet – Maggie O’Farrell

04 mercredi Août 2021

Posted by Aurélie in En VO, Romans étrangers

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conseils de lecture, Critique de livre, Hamnet, idées de lecture, lecture, Livre, Maggie O'Farrell, quoi lire, roman, Shakespeare, Tinder Press

Les premières phrases

«  A boy is coming down a flight of stairs. 

The passage is narrow and twists back on itself. He takes each step slowly, sliding himself along the wall, his boots meeting each tread with a thud.

Near the bottom, he pauses for a moment, looking back the way he has come. Then, suddenly resolute, he leaps the final three stairs, as is his habit. He stumbles as he lands, falling to his knees on the flagstone floor.  »

Circonstances de lecture

Parce que les livres sur Shakespeare m’intéressent.

Impressions

Lire « Hamnet », c’est suivre les pas de ce petit garçon qui, on le sait, n’a plus que quelques heures à vivre. C’est revivre avec lui l’amour naissant de ses parents, le balbutiement de la carrière de son père, Shakespeare, les sublimes étrangetés de sa mère, Agnès, qui sait lire dans la paume de la main et dans le cœur des hommes. Un texte magnifique, forcément triste, mais d’une beauté qui réchauffe le cœur. Émotions garanties.

Maggie O’Farrell – Hamnet – mars 2020 – Tinder Press (paru chez Belfond en français)

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The Priory of the Orange Tree – Samantha Shannon

07 lundi Juin 2021

Posted by Aurélie in En VO, Fantasy

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Bloomsbury, De Saxus, Fantasy, Le prieuré de l'oranger, lecture, Livres, quoi lire, roman, Samantha Shannon, The priory of the orange tree

Les premières phrases

«  The stranger came out of the sea like a water ghost, barefoot and wearing the scars of his journey. He walked as if drunk through the haze of mist that clung like spidersilk to Seiiki.

The stories of old said water ghosts were doomed to live in silence. That their tongues had shrivelled, along with their skin, and that all that dressed their bones was seaweed. That they would lurk in the shallows, waiting to drag the unwary to the heart ot the Abyss.

Tané had not feared those tales since she was a small child. Now her dagger gleamed before her, its curve like a smile, and she fixed her gaze on the figure in the night. »

Circonstances de lecture

Parce que ce pavé m’attendait depuis un bon moment sur mes étagères !

Impressions

Voici un livre de Fantasy idéal pour s’évader ! Un roman dans la lignée de « Game of Thrones », faisant la part belle aux personnages féminins, qu’elles soient reines, dragonnières ou sorcières. Avec, en prime, un bestiaire varié, des vouivres aux dragons en passant par les aigles des sables. Ce pavé de quelque 800 pages (en VO) se lit avec plaisir. J’ai adoré découvrir le monde imaginé par Samantha Shannon, m’imprégner des légendes et mythes de son univers. Et en plus, c’est un one-shot ! Gros coup de cœur Fantasy !

Samantha Shannon – The Priory of the Orange Tree – 2019 – Bloomsbury (De Saxus pour la vf)

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Blackwood – Michael Farris Smith

16 samedi Jan 2021

Posted by Aurélie in En VO, Fantastique, Romans étrangers

≈ 1 Commentaire

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Blackwood, Critique de livre, Fantastique, idées de lecture, lecture, Little Brown, Livre, Michael Farris Smith, quoi lire, roman, Roman noir

Les premières phrases

«  Colburn was standing with his mother in the kitchen when she said go fetch your father. The long light of an August day bleeding through the windows. His face and hands dirty from playing football in the neighbor’s yard. His mother wiped the sweat from his face with a dishtowel. Held his chin in her hand and gazed at him. You’ll be twelve soon. I can’t believe it. He asked where his father was and she said out back in the workshop. Go tell him it’s time for supper. The boy noticed the empty bottle on the counter, beneath the high cabinet where his father kept his whiskey, and he picked up the bottle and unscrewed the cap and sniffed and it burned through his nose and his mother laughed when he winced and then told him that should teach you all you need to know about that stuff. Don’t ever bother with it. Not now nor ever. And then the smile left her face and her eyes drifted out of the kitchen window and into the backyard. Her eyes drifted toward the workshop where his father hid most days when he came home from work. Sometimes the buzz of a saw or pouding of a hammer but mostly silence from the workshop. Her eyes drifted and an emptiness came across her face.   »

Circonstances de lecture

Parce que Michael Farris Smith fait partie de mes auteurs préférés.

Impressions

Michael Farris Smith nous plonge avec « Blackwood » au sein d’une petite ville du Mississippi en apparence sans histoire… jusqu’à ce que Colburn, parti alors qu’il n’était qu’un enfant, y remette les pieds, et qu’un couple étrange accompagné d’un jeune garçon traînent leur misère et leur caddie dans le centre-ville, pour y faire les poubelles. L’ombre du passé refait alors surface.

Voici une histoire sombre à l’atmosphère envoûtante, avec une pointe de fantastique. On ressent l’oppression du kudzu, cette plante grimpante qui semble vouloir recouvrir la ville et ses habitants, et les faire sombrer dans la folie. Encore une fois, Michael Farris Smith signe un très beau livre. Un auteur américain à ne pas rater !

Ma sœur m’a offert cette superbe édition à Noël. Il devrait sortir en français chez Sonatine en avril 2021.

Michael Farris Smith – Blackwood – Mars 2020 – Little Brown

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Skyward – Brandon Sanderson

25 dimanche Oct 2020

Posted by Aurélie in En VO, Romans étrangers, SF

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Brandon Sanderson, Critique de livre, Gollancz, idées de lecture, lecture, Livre, Livre de Poche, quoi lire, roman, roman young adult, SF, SF Young Adult, Skyward, Vers les étoiles

Les premières phrases

«  Only fools climbed to the surface. It was stupid to put yourself in danger like that, my mother always said. Not only were there near-constant debris showers from the rubble belt, but you never knew when the Krell would attack.

Of course, my father traveled to the surface basically everyday – he had to, as a pilot. I supposed by my mother’s definition that made him extra foolish, but I always considered him extra brave.

I was still surprised when one day, after years of listening to me beg, he finally agreed to take me up with him.   »

Circonstances de lecture

Parce qu’il était depuis trop longtemps dans ma PAL !

Impressions

Mon tout premier livre de Brandon Sanderson et certainement pas le dernier ! Si vous avez aimé la série « Battlestar Gallactica » comme moi, vous devriez particulièrement apprécier l’ambiance de « Skyward ». D’ailleurs, son héroïne, Spensa, me rappelle beaucoup le personnage de Kara Thrace, alias « Starbuck » dans la série.

Ici, les humains se retrouvent sur une planète pour le moins hostile, obligés de vivre sous terre pour éviter de se prendre les déchets qui tombent du ciel, et de subir les attaques à répétition des Krell, des extraterrestres souhaitant détruire l’espèce humaine. Seuls les pilotes vivent à la surface et Spensa est bien décidée à en devenir un. Mais pour pouvoir entrer à l’école de pilotage, elle va devoir faire fi de son histoire familial, car son père, ancien pilote décédé depuis son enfance, est un lâche et un déserteur aux yeux de tous.

J’ai dévoré ce roman et attends avec impatience de lire la suite. J’ai particulièrement aimé les scènes de combats aériens et la tension qui va crescendo au fil des pages. Je l’ai lu en anglais mais il est depuis peu également disponible en français au Livre de Poche. Je le recommande notamment aux ados qui ont envie de se lancer dans la SF.

Brandon Sanderson – Skyward – Septembre 2019 (Gollancz)

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Watch Over Me – Nina LaCour

08 jeudi Oct 2020

Posted by Aurélie in En VO, Romans étrangers

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Critique de livre, Dutton Books, idées de lecture, lecture, Livre, Nina LaCour, quoi lire, roman, roman young adult, Watch Over Me

Les premières phrases

«  On the morning of my interview I slept until eight, went downstairs to the kitchen, and poured myself the last of the coffee. I stood at the counter, watching out the window as I sipped, and then pushed up my sleeves and turned on the water to wash the breakfast dishes that Amy and Jonathan had left stacked in the sink.

In just a few days, I would leave them.   »

Circonstances de lecture

Parce que j’attends maintenant avec impatience chaque roman de Nina LaCour.

Impressions

Encore une fois, Nina LaCour parvient à émouvoir à travers une histoire toute simple. Dans « Watch Over Me », elle nous fait pénétrer dans la ferme de Julia et Terry, un couple faisant office de famille d’accueil pour de nombreux enfants abandonnés, en Californie. Mila y est embauchée pour enseigner aux enfants entre 6 et 9 ans. Là, elle découvre un lieu de vie magnifique, à deux pas de la côte, mais aussi un lieu hanté où les fantômes apparaissent la nuit et où les résidents doivent faire face à leur passé. Un beau livre sur les traumatismes de la vie et la manière de les surmonter.

Uniquement disponible en VO.

Nina LaCour – Watch Over Me – Septembre 2020 (Dutton Books)

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The Binding (Les Livres d’Emmett Farmer) – Bridget Collins

27 dimanche Oct 2019

Posted by Aurélie in En VO, Romans étrangers

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Bridget Collins, Critique de livre, idées de lecture, JC Lattès, lecture, Les Livres d'Emmett Farmer, Livre, quoi lire, Rentrée littéraire 2019, roman, The Binding, The Borough Press

Les premières phrases

«  When the letter came I was out in the fields, binding up my last sheaf of wheat with hands that were shaking so much I could hardly tie the knot. It was my fault we’d had to do it the old-fashioned way, and I’d be damned if I was going to give up now; I had battled through the heat of the afternoon, blinking away the patches of darkness that flickered at the sides of my vision, and now it was nightfall and I was almost finished. The others had left when the sun set, calling goodbyes over their shoulders, and I was glad. At least now I was alone I didn’t have to pretend I could work at the same pace as them. »

Circonstances de lecture

Parce que  : cette couverture (bien plus belle dans la version originale que dans la version française) !!!!!

Impressions

Voici un roman poétique, empreint de magie, qui délivre petit à petit ses secrets. Tout commence quand le jeune Emmett Farmer reçoit une lettre au retour d’une journée passée à travailler dans les champs, le contraignant à commencer son apprentissage d’ « enlivreur » auprès d’une vieille femme, Seredith. Sortant d’une maladie qui a considérablement réduit ses forces, Emmett n’a pas le choix, il doit accepter de devenir « enlivreur », un métier dont tout le monde se méfie. Car dans les livres qu’il relie, se cachent les souvenirs que les clients de Seredith veulent oublier, en même temps que leurs souffrances, leurs remords ou encore leur sentiment de culpabilité.

Construit en trois parties, ce roman à tiroirs prend une toute autre tournure dans son second volet, prenant le lecteur par surprise et remettant en cause tout ce qu’il a lu jusque-là. Mais je ne vous en dis pas plus au risque de trop en dévoiler ! Une belle lecture, autour de la magie, de la culpabilité, de l’oubli et aussi une très belle histoire d’amour.

Bridget Collins – The Binding – janvier 2019 (The Borough Press) / Les Livres d’Emmett Farmer – 16 octobre 2019 (JC Lattès)

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Dans la toile du temps – Adrian Tchaikovsky

11 mercredi Juil 2018

Posted by Aurélie in En VO, Romans étrangers, SF

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Adrian Tchaikovsky, Children of Time, Critique de livre, Dans la toile du temps, Denoël, Editions Denoël, idées de lecture, lecture, Livre, quoi lire, roman, SF

Les premières phrases

«  There were no windows in the Brin 2 facility – rotation meant that « outside » was always « down », underfoot, out of mind. The wall screens told a pleasant fiction, a composite view of the world below that ignored their constant spin, showing the planet as hanging stationary-still off in space: the green marble to match the blue marble of home, twenty light years away. Earth had been green, in her day, though her colours had faded since. Perhaps never as green as this beautifully crafted world though, where even the oceans glittererd emerald with the phytoplankton maintaining the oxygen balance within its atmosphere. How delicate and many-sided was the task of building a living monument that would remain stable for geological ages to come.

It had no officially confirmed name beyond its astronomical designation, although there was a strong vote for « Simiana » amongst some of the less imaginative crewmembers. Doctor Avrana Kern now looked out upon it and thought only of Kern’s World. Her project, her dream, her planet. The first of many, she decided.

This is the future. This is where mankind takes its next great step. This is where we become gods.  »

Circonstances de lecture

Parce qu’on me l’a prêté. Lu en VO (Children of Time).

Impressions

Voilà un gros coup de cœur SF ! La Terre est au plus mal. Pour survivre, des scientifiques sont partis coloniser d’autres planètes pour les modeler à l’image de la Terre. Ils y parviennent presque, envoyant un groupe de singes ainsi qu’un nanovirus censé les faire évoluer rapidement pour qu’ils préparent la planète Kern à l’arrivée des hommes. Mais voilà, l’expérience tourne mal, le  vaisseau conduisant les singes est victime d’un acte de terrorisme et le nanovirus trouve refuge auprès d’une autre espèce : les araignées !

Deux mille ans plus tard, grâce à la cryogénisation, la scientifique à l’origine de la terraformation veille du haut de sa capsule spatiale sur sa création, le monde de Kern, quand un vaisseau spatial abritant les derniers humains approche et demande à atterrir sur Kern… La narration alterne alors entre les humains et les araignées et le lecteur a bien du mal à prendre partie, tant les deux points de vue sont compréhensibles. On ne sait plus qui soutenir, des humains survivants désireux de trouver un abri, ou des araignées évoluées, conscientes et intelligentes souhaitant sauvegarder leur monde. On parvient à s’attacher aussi bien aux humains (notamment l’ingénieure Isa Lain et l’historien-linguiste Holsten Mason, que l’on retrouve chapitre après chapitre, à plusieurs centaines d’années d’intervalle, lors de leurs différents réveils cryogéniques), qu’aux araignées auxquelles Adrian Tchaikovsky donne le même nom, génération après génération, en fonction de leur personnalité (Portia, Bianca et Fabian).

Ce livre d’Adrian Tchaikovsky offre à voir l’évolution d’une espèce sur des milliers d’années. Véritablement passionnant ! Il offre aussi une belle réflexion sur l’humanisme, les croyances, la tolérance, l’incompréhension, l’empathie, le langage, l’égalité des sexes (les araignées sont basées sur une société matriarcale au détriment des mâles) et l’intelligence artificielle. Un GROS coup de cœur, d’autant que la fin est tout simplement géniale !

Un passage parmi d’autres

 But of course, there is only one vital question. Portia wonders if Bianca will actually canvass anyone else’s opinion in the end, or whether she will simply send off her own demand to God to prevent anyone else doing likewise. It must be a great temptation to every other spider with access to a transmitter.

What Bianca asks is this :

« What does it mean that you are there and we are here? Is there meaning or is it random chance? » Because what else does one ask even a broken cybernetic deity but, « Why are we here? ».

Adrian Tchaikosvky – avril 2018 (Éditions Denoël)

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One Of Us is Lying – Karen M. McManus

12 samedi Mai 2018

Posted by Aurélie in En VO, Jeunesse, Policiers / Thrillers, Romans étrangers

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Critique de livre, idées de lecture, Karen M. McManus, lecture, Livre, One of us is lying, Penguin Books, quoi lire, roman, Thriller, Young Adult

Les premières phrases

«  A sex tape. A pregnancy scare. Two cheating scandals. And that’s just this week’s update. If all you knew of Bayview High was Simon Kelleher’s gossip app, you’d wonder how anyone found time to go to class.

« Old news, Bronwyn, » says a voice over my shoulder. « Wait till you see tomorrow’s post. »

Damn. I hate getting caught reading About That, especially by its creator. I lower my phone and slam my locker shut. « Whose lives are you ruining next, Simon? »

Simon falls into step beside me as I move against the flow of students heading for the exit. « It’s a public service, » he says with a dismissive wave. « You tutor Reggie Crawley, don’t you? Wouldn’t you rather know he has a camera in his bedroom? »

I don’t bother answering. Me getting anywhere near the bedroom of perpetual stoner Reggie Crawley is about as likely as Simon growing a conscience.  »

Circonstances de lecture

Parce qu’une amie me l’a recommandé.

Impressions

Cinq lycéens se retrouvent en heure de colle. L’un d’eux meurt empoisonné, Simon, le créateur d’une appli dévoilant les secrets de ses camarades de classe. Les quatre autres deviennent automatiquement les suspects numéro un. Car chacun aurait bien une raison de le voir mort…

Karen M. McManus nous entraîne ici dans une enquête pleine de suspens. Chaque chapitre dévoile le point de vue d’un des suspects. Une lecture addictive jusqu’aux toutes dernières pages. A lire !

Un passage parmi d’autres

 « She’s a princess and you’re a jock, »he says. He thrusts his chin toward Bronwyn, then at Nate. « And you’re a brain. And you’re a criminal. You’re all walking teen-movie stereotypes. »

« What about you? » Bronwyn asks. She’s been hovering near the window, but now goes to her desk and perches on top of it. She crosses her legs and pulls her dark ponytail over one shoulder. Something about her is cuter this year. New glasses, maybe? Longer hair? All of a sudden, she’s kind of working this sexy-nerd thing.

« I’m the omniscient narrator, » Simon says.

Bronwyn’s brows rise above her black frames. « There’s no such thing in teen movies. »

« Ah, but Bronwyn. » Simon winks and chugs his water in one long gulp. « There is such a thing in life. »

Karen M. McManus – One Of Us is Lying – mai 2017 (Penguin Books)

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The Burning Girl – Claire Messud

20 lundi Nov 2017

Posted by Aurélie in En VO, Romans étrangers

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Claire Messud, Critique de livre, idées de lecture, lecture, Livre, quoi lire, roman, The Burning Girl, W.W. Norton & Company

Les premières phrases

«  You’d think it wouldn’t bother me now. The Burneses moved away long ago. Two years have passed. But still, I can’t lie in the sun on the boulders at the quarry’s edge, or dangle my toes in the cold, clear water, or hear the other girls singing, without being aware the whole time that Cassie is gone. And then I want to say something – but you can’t, you know. It’s like she never existed.  »

Circonstances de lecture

Parce que j’ai été attirée par la couverture et les premières lignes de ce roman.

Impressions

Si vous aimez l’univers de Nina LaCour, ce livre de Claire Messud devrait vous plaire. « The Burning Girl » traite de l’amitié entre deux adolescentes, une amitié a priori inébranlable et qui va pourtant s’étioler petit à petit. Parce que si Julia a les pieds sur terre, Cassie a du mal à trouver sa place dans cette société, et lorsque sa mère tombe amoureuse, sa vie est chamboulée… Voici un livre plein d’émotions sur les affres de l’adolescence, les raisons qui font qu’une amitié peut s’évaporer, et le ressenti de deux jeunes filles face à des événements sur lesquels elles n’ont pas de prise. Une très belle plume et une histoire pleine de mystères.

Un passage parmi d’autres

 To be in that ruin with Cassie – it was such a particular feeling that I have had nowhere else. If ever I have it again, I will recognize it, like a long-lost scent, and that afternoon and the one that followed will return to me, in all their visceral intensity. The Bonnybrook was at once the most unlikely, vivid experience of our lives up till then, and like a dream – a dream, miraculously, that Cassie and I dreamed in tandem, touching, hearing, and feeling together. The asylym was darkened by the traces of its pasts; made titillating, even scary, by its silences – but made safer too by our sharing it. Being in the Bonnybrook was like being inside both Cassie’s head and my own, as if we had one mind and could roam its limits together, inventing stories and making ourselves as we wanted them to be.

 

Claire Messud – The Burning Girl – septembre 2017 (W.W. Norton & Company)

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Daughter of the Burning City – Amanda Foody

09 lundi Oct 2017

Posted by Aurélie in En VO, Romans étrangers

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Amanda Foody, Critique de livre, Daughter of the Burning City, FairyLoot, idées de lecture, lecture, Livre, quoi lire, roman, Young Adult

Les premières phrases

«  I peek from behind the tattered velvet curtains at the chattering audience, their mouths full of candied pineapple and kettle corn. With their pale faces flushed from excitement and the heat, they look as gullible as dandelions, much like the patrons in the past five cities. The Gomorrah Festival hasn’t been permitted to travel this far north in the Up-Mountains in over three years, and these people look like they’re attending the opera or the theater rather than our traveling carnival of debauchery.

The women wear frilly dresses in burnt golds and oranges, buckled to the point of suffocation, some with rosy-cheeked children bouncing on their laps, others with cleavage as high as their chins. The men have shoulder pads to seem broader, stilted loafers to seem taller and painted silver pocket watches to seem richer.

If buckles, stilts and paint are enough to hoodwink them, then they won’t notice that the eight « freaks » of my freak show are, in fact, only one.  »

Circonstances de lecture

Livre reçu avec ma première FairyLoot Box !

Impressions

Rien que la couverture donne envie de se plonger dans ce roman Young Adult ! Une belle édition reçue dans ma box FairyLoot. Un véritable plaisir de lecture aussi. Amanda Foody plonge le lecteur dans l’univers déjanté d’un festival itinérant aux allures de ville maléfique. Son héroïne, Sorina, est la fille adoptive du propriétaire du Festival de Gomorrah. Elle est née sans yeux, ce qui ne l’empêche pas de voir le monde aussi bien que tout autre être humain. Et elle possède un don : celui de pouvoir créer des illusions plus vraies que nature. Elle s’est ainsi créée une famille, chaque membre étant doté de particularités dignes d’un « Freak Show ». Tout se passe pour le mieux, jusqu’au jour où l’une de ses illusions est retrouvée assassinée. Mais comment est-il possible de tuer une illusion ? Et qui a commis ce crime ? Commence alors une course poursuite pour déterminer qui en veut à sa famille et pourquoi.

J’ai aimé l’univers immersif empreint de magie qu’a imaginé Amanda Foody. Vivement son deuxième roman !

Un passage parmi d’autres

 Nicoleta jabbers a spiel about the wonders of my sight, as if my lack of eyes allows me to see more than everyone else. Between my forehead and cheekbones is flat skin, but I can see just the same as the rest of the world. I’m an illusion-worker, the rarest form of jynx-worker, gifted in mirages real enough to touch, smell, hear and taste. My most intricate illusions are my family and the other members of the freak show: living figments of my imagination.

I’ve never met another illusion-worker – only read about them – but as far as I know, I am the only one born without eyes who relies on my jynx-work to see. No doctor or medicine man can explain how this works. Maybe I don’t see like everyone else does – it’s not as if I could test that out – but I see, color and all, and I’m not the one to question things I don’t really need answers to.

 

Amanda Foody – Daughter of the Burning City – juin 2017 (Harlequin Teen)

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