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Archives de Tag: Livre de Poche

Skyward – Brandon Sanderson

25 dimanche Oct 2020

Posted by Aurélie in En VO, Romans étrangers, SF

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Brandon Sanderson, Critique de livre, Gollancz, idées de lecture, lecture, Livre, Livre de Poche, quoi lire, roman, roman young adult, SF, SF Young Adult, Skyward, Vers les étoiles

Les premières phrases

«  Only fools climbed to the surface. It was stupid to put yourself in danger like that, my mother always said. Not only were there near-constant debris showers from the rubble belt, but you never knew when the Krell would attack.

Of course, my father traveled to the surface basically everyday – he had to, as a pilot. I supposed by my mother’s definition that made him extra foolish, but I always considered him extra brave.

I was still surprised when one day, after years of listening to me beg, he finally agreed to take me up with him.   »

Circonstances de lecture

Parce qu’il était depuis trop longtemps dans ma PAL !

Impressions

Mon tout premier livre de Brandon Sanderson et certainement pas le dernier ! Si vous avez aimé la série « Battlestar Gallactica » comme moi, vous devriez particulièrement apprécier l’ambiance de « Skyward ». D’ailleurs, son héroïne, Spensa, me rappelle beaucoup le personnage de Kara Thrace, alias « Starbuck » dans la série.

Ici, les humains se retrouvent sur une planète pour le moins hostile, obligés de vivre sous terre pour éviter de se prendre les déchets qui tombent du ciel, et de subir les attaques à répétition des Krell, des extraterrestres souhaitant détruire l’espèce humaine. Seuls les pilotes vivent à la surface et Spensa est bien décidée à en devenir un. Mais pour pouvoir entrer à l’école de pilotage, elle va devoir faire fi de son histoire familial, car son père, ancien pilote décédé depuis son enfance, est un lâche et un déserteur aux yeux de tous.

J’ai dévoré ce roman et attends avec impatience de lire la suite. J’ai particulièrement aimé les scènes de combats aériens et la tension qui va crescendo au fil des pages. Je l’ai lu en anglais mais il est depuis peu également disponible en français au Livre de Poche. Je le recommande notamment aux ados qui ont envie de se lancer dans la SF.

Brandon Sanderson – Skyward – Septembre 2019 (Gollancz)

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Annihilation – Jeff Vandermeer

08 vendredi Juin 2018

Posted by Aurélie in Romans étrangers, SF

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Annihilation, Au diable vauvert, Critique de livre, idées de lecture, Jeff Vandermeer, lecture, Livre, Livre de Poche, quoi lire, roman, SF

Les premières phrases

«  La tour, qui n’était pas censée être là, s’enfonce sous terre tout près de l’endroit où la forêt de pins noirs commence à abandonner le terrain au marécage, puis aux marais avec leurs roseaux et leurs arbres rendus noueux par le vent. Derrière les marais et les canaux naturels, se trouve l’océan et, un peu plus bas sur la côte, un phare abandonné. Toute cette région était désertée depuis des décennies, pour des raisons qui ne sont pas faciles à raconter. Notre expédition était la première à entrer dans la Zone X depuis plus de deux ans et la majeure partie de l’équipement de nos prédécesseurs avait rouillé, leurs tentes et abris ne protégeant plus de grand-chose. En regardant ce paysage paisible, je ne pense pas qu’aucune d’entre nous n’en voyait encore la menace.  »

Circonstances de lecture

Parce que j’avais très envie de poursuivre l’expérience du film diffusé sur Netflix.

Impressions

Pénétrez dans la Zone X, découvrez un monde a priori paisible qui fait la part belle à la nature. Celle-ci semble avoir repris ses droits. Laissez-vous hypnotiser par sa beauté et ses phénomènes inexpliqués, à la fois magnifiques et terriblement dangereux. Voilà, vous vous êtes fait prendre à l’ambiance oppressante d’Annihilation. Un monde fascinant, empli de mystères. Si vous en ressortez, vous ne serez peut-être plus tout à fait vous-mêmes… Vous êtes prévenus…

J’avais beaucoup aimé le film d’Alex Garland avec Nathalie Portman, diffusé sur Netflix. Si encore une fois, l’adaptation prend de nombreuses libertés sur le livre, je vous conseille tout de même de le regarder. Ensuite, plongez-vous dans le livre, puis dans ses deux suites (publiées aux éditions du Diable Vauvert) que je ne manquerai pas de lire sous peu !

Un passage parmi d’autres

 Et je n’ai jamais regardé en arrière, pour le meilleur ou pour le pire. Si un projet épuisait son financement ou si la zone que nous étudions était soudain achetée pour aménagement, je n’y remettais jamais les pieds. Il y a certaines formes de mort qu’on ne devrait pas s’attendre à revivre, certaines formes de liens si profonds que quand ils disparaissent, on sent soudain quelque chose casser en soi.

Au fur et à mesure que nous descendions dans la tour, j’ai senti, pour la première fois depuis longtemps, l’excitation de la découverte que j’avais connue dans mon enfance. Mais je n’ai pas non plus cessé d’attendre que quelque chose casse en moi.

(…)

Quand j’ai vu ces centaines de journaux, j’ai eu un bon moment l’impression d’être devenue malgré tout cette vieille biologiste. C’est ainsi que la folie du monde essaie de vous coloniser : de l’extérieur, en vous forçant à vivre dans sa réalité.

 

 

Jeff Vandermeer – Annihilation – septembre 2017 (Livre de poche)

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L’extravagant voyage du jeune et prodigieux T.S. Spivet – Reif Larsen

01 vendredi Nov 2013

Posted by Aurélie in Romans étrangers

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Critique de livre, L'extravagant voyage du jeune et prodigieux T.S. Spivet, Livre de Poche, Reif Larsen, roman, T.S. Spivet

Reif Larsen - L'extravagant voyage du jeune et prodigieux T.S. SpivetLes premières phrases

«  Le téléphone a sonné un après-midi du mois d’août, alors que ma sœur Gracie et moi étions sur la véranda en train d’éplucher le maïs doux dans les grands seaux en fer-blanc. Les seaux étaient criblés de petites marques de crocs qui dataient du printemps dernier, quand Merveilleux, notre chien de ranch, avait fait une dépression et s’était mis à manger du métal.

Peut-être devrais-je m’exprimer de manière un peu plus claire. Quand je dis que Gracie et moi épluchions le maïs doux, ce que je veux dire, en fait, c’est que Gracie épluchait le maïs doux tandis que moi, de mon côté, je schématisais dans l’un de mes petits carnets bleus les différentes étapes de cet épluchage.

J’avais des carnets de trois couleurs. Les BLEUS, soigneusement alignés contre le mur sud de ma chambre, étaient réservés aux « Schémas de gens en train de faire des choses », à la différence des VERTS, sur le mur est, qui contenaient des croquis zoologiques, géologiques et topographiques, et des ROUGES, sur le mur ouest, que je remplissais de dessins d’insectes pour le cas où ma mère, le Dr Clair Linneaker Spivet, aurait eu besoin de mes services. »

Circonstances de lecture

J’avais envie de lire ce livre avant de voir son adaptation au cinéma par Jean-Pierre Jeunet.

Impressions

T.S. Spivet, 12 ans, est un petit garçon pas comme les autres. Passionné de cartographie, il passe son temps à dessiner le monde qui l’entoure. Jusqu’au jour où ses dessins attirent l’attention de l’illustre musée Smithsonian… et lui valent de remporter le Prix Baird. Il est alors attendu à Washington pour faire un discours. Commence alors un long périple du ranch du Montana où il habite avec ses parents, jusqu’à Washington.

Ce livre est unique. Parce qu’il se veut le carnet de voyage de ce petit prodige de 12 ans, on est happé par son histoire et par les croquis, schémas, apartés et cartes griffonnés dans la marge. Une lecture pas comme les autres, pleine du parfum de l’enfance, de questions philosophiques, et d’émotions. Car T.S. Spivet garde en lui un lourd secret…

Un passage parmi d’autres

 Le lendemain, pour me distraire, j’ai essayé de me lancer dans la cartographie de Moby Dick.

Cartographier un roman est une tâche délicate. Parfois, les paysages imaginaires m’offraient un refuge, un répit dans la mission que je m’étais assignée de cartographier le monde réel dans sa totalité. Mais ce répit était toujours assorti d’un sentiment de vacuité : je savais que je me leurrais, que l’œuvre de fiction n’était qu’une illusion. Sans doute certains parviennent-ils à justifier le plaisir de l’évasion par la conscience du leurre, peut-être est-ce précisément là tout l’intérêt des romans, mais pour ma part j’ai toujours trouvé difficile d’accepter cette cohabitation de la réalité et de la fiction. Peut-être faut-il simplement être adulte pour réaliser ce numéro d’équilibriste qui consiste à croire tout en ne croyant pas.

En fin d’après-midi, je suis sorti pour chasser de mon esprit les fantômes de Melville. J’ai suivi le chemin sinueux que mon père avait tracé dans les hautes herbes avec la tondeuse. En cette fin d’été, les hautes herbes étaient presque plus hautes que moi. Elles se couchaient sous le vent en vagues lentes et la lumière du couchant, bleu et saumon, pénétrait la treille ondulante formée par les tiges et les pédoncules.

Il y avait tout un monde caché dans ces hautes herbes. Si l’on s’allongeait par terre, la nuque appuyée sur les tiges rugueuses, les yeux rivés sur le grand ciel bleu découpé par les lames immenses des herbes dressées, le ranch et tous ceux qui y vivaient disparaissaient dans un rêve lointain. Etendu ainsi sur le dos, on pouvait se téléporter n’importe où : je fermais les yeux, j’écoutais le bruissement des herbes et j’imaginais que j’étais dans la gare de Grand Central Terminal, où les hommes se bousculaient dans un froissement de pardessus, pressés d’avoir leur express et de rentrer dans le Connecticut.

L’extravagant voyage du jeune et prodigieux T.S. Spivet – Reif Larsen – 2009 (Le Livre de Poche)

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