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~ Parce qu'il n'y a rien de mieux qu'un livre pour s'évader…

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Archives de Tag: SFFF

Un monde plus-que-parfait – Emmanuel Brault

24 samedi Août 2024

Posted by Aurélie in Romans français, SF

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conseils de lecture, Critique de livre, Emmanuel Brault, idées de lecture, lecture, Livres, Mu, quoi lire, SFFF

Emmanuel Brault - Un homme plus-que-parfaitLes premières phrases

«  Ainsi débutait l’annonce, en tout petits caractères, au bas de la page des chiens écrasés d’un journal abandonné sur le banc vert bouteille du parc municipal : « Tente l’aventure ! Change de vie ! Travail de rêve sur la planète Pandore ». Suivaient une boîte postale et un numéro de téléphone à dix-huit chiffres.

Alfred, qui s’était rangé avec une femme et deux enfants – une fille de quatorze ans, un garçon de seize ans – appela le numéro sur un coup de tête alors qu’il rentrait à pied de son travail, en découvrant par hasard le morceau de journal froissé niché au fond de sa poche. »

Circonstances de lecture

Parce que j’avais adoré son premier roman paru chez Mu, Walter Kurtz était à pied.

Impressions

Alfred ne se sent pas à sa place. Marié, père de deux enfants (une fille de 14 ans enceinte, un fils de 16 ans scotché au canapé et à l’écran télé), marié à une femme spécialiste du gratin dauphinois carbonisé, il n’est pas heureux. Pire, il se sent comme un étranger aussi bien dans sa famille qu’en société. Imaginez un peu : une société qui interdit tout terme compliqué, toute tournure de phrase trop alambiquée, et recommande de se poser le moins de question possible. Pour Alfred, c’est l’enfer, lui qui aime utiliser le subjonctif, le vouvoiement, et est friand de poésie et de jolis mots. Alors, quand il tombe sur une petite annonce lui proposant de changer de vie sur la planète Pandore, il postule aussitôt… mais il y a une contrepartie…

Ce court roman (un peu plus de 100 pages) est tout simplement jubilatoire. Drôle, cynique, il ne manque pas de mordant et sait pointer tous les petits et gros travers de notre propre société, de notre rapport à la famille et au bonheur. Si certaines scènes et certains choix pourront heurter certains (personnellement, je n’ai pas compris ce choix concernant Esbrouffe 🥹…), il n’en reste pas moins qu’Emmanuel Brault réussit encore une fois à surprendre, après les très bons Walter Kurtz était à pied et Tous les hommes… Mais attention, ne vous attendez pas à un livre de SF comme ses précédents. 

Emmanuel Brault – Un monde plus-que-parfait – Août 2024 – Mu

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Les beaux et les élus – Nghi Vo

21 mercredi Août 2024

Posted by Aurélie in Fantastique, Romans étrangers

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conseils de lecture, Critique de livre, Fantastique, Gatsby le magnifique, idées de lecture, L'Atalante, lecture, Les beaux et les élus, Livres, Nghi Vo, quoi lire, Scott Fitzgerald, SFFF

BEAUX-ELUS_dos22.inddLes premières phrases

«  Le vent soufflant du détroit entra dans la maison et nous emporta, Daisy et moi, autour de la demeure d’East Egg, telles des aigrettes de pissenlit, tels des flocons d’écume, telles deux jeunes femmes en robe blanche sans un souci pour les alourdir. » 

Circonstances de lecture

Parce que c’est L’Atalante et Nghi Vo !

Impressions

Après sa série des Archives des Collines-Chantantes, Nghi Vo livre une réécriture de Gatsby le Magnifique de Scott Fitzgerald, faisant de Jordan Baker, joueuse de golf et meilleure amie de Daisy, la narratrice de cette histoire. Si Les beaux et les élus conservent le même déroulement narratif que ce grand classique de la littérature américaine, c’est dans sa description des personnages et leurs rapports entre eux que Nghi Vo propose des variations. Jordan Baker devient ainsi une jeune femme libre, queer et indépendante, essayant de faire oublier (et d’oublier elle-même) ses origines vietnamiennes, dans une société fortement marquée par la ségrégation raciale. Nghi Vo saupoudre également sa version de Gatsby d’une bonne dose de fantastique et de réalisme magique. A l’instar de la première scène du roman où Daisy et Jordan flottent au gré de la brise dans les pièces de la demeure des Carraway, telles des pétales de fleurs ou des fées espiègles. La magie apparaît également lorsque Jordan découpe des formes de papier prenant subitement vie. Il n’est pas impossible non plus de croiser des fantômes, au détour d’une rue ou d’un couloir, de vendre son âme au diable, ni d’avoir des visions après quelques gorgées d’une boisson démoniaque. La plume de Nghi Vo est poétique, envoûtante et sensuelle et cela participe grandement au plaisir de lecture. Il m’a été cependant impossible de m’attacher aux personnages. Ils sont tous odieux à leurs façons, s’utilisant les uns les autres pour essayer de toucher du doigt un bonheur finalement impossible. Signe que l’argent ne fait pas tout, loin s’en faut ! Ce sont au final quasiment tous des « gosses de riches », nés avec une cuillère d’argent dans la bouche, soucieux uniquement de leur propre petite personne et menant des vies insouciantes. 

Nghi Vo – Les beaux et les élus – Août 2024 – L’Atalante

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La Geste d’Hamlet Evans – Rafael Marin

19 lundi Août 2024

Posted by Aurélie in Romans étrangers, SF

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Argyll, Cirque, conseils de lecture, Critique de livre, idées de lecture, La Geste d'Hamlet Evans, lecture, Livres, Poète, quoi lire, Rafael Marin, SF, SFFF, Space opera

Rafael Marin - La Geste d'Hamlet EvansLes premières phrases

«  Je dépoussière ma vieille perruque rouge et je l’ajuste soigneusement sur ma tignasse, juste assez penchée pour qu’elle ne paraisse pas trop naturelle, mais suffisamment droite pour qu’elle n’ait pas l’air grotesque. Cela me semble bien. Je cligne des yeux et décide d’ajouter un peu de couleur sur mes paupières. Parfait. Un autre point de réglé. Enfin, je mets mon nez, vert comme un petit pois, mon chapeau noir et ma fleur en plastique d’un blanc étincelant. Prépare-toi à applaudir , ô public, voici qu’arrive Hamlet ! » 

Circonstances de lecture

Parce que j’adore cette maison d’édition.

Impressions

Je crois qu’il s’agit du premier auteur de SF espagnol que je lis… Argyll a en effet eu la très bonne idée de publier et traduire (par Sylvie Miller) ce space opera écrit en 1984 par Rafael Marin.  Et je dois dire que j’ai adoré !

Si ce roman date d’il y a 40 ans, cela ne se ressent pas du tout, tant l’écriture comme les thèmes abordés sont totalement actuels. J’ai particulièrement apprécié l’originalité de ce texte qui mélange avec habileté le genre du space opera, avec une critique acerbe du colonialisme, de la guerre, et du capitalisme, et en y associant des poètes, des artistes de cirque et même de la poussière de fée !

Suivez donc Hamlet Evans, ce Terrien très ordinaire, qui, n’ayant aucun talent pour être soldat, décide de postuler pour devenir poète et qui, contre toute attente, voit sa candidature acceptée par le tout puissant New York. Commencent alors des années de formation au Monastère pour pouvoir devenir poète à bord d’un navire de guerre ayant pour but de conquérir de nouvelles planètes pour le compte de la Corporation. Un noble métier ? À première vue, oui, peut-être, jusqu’à ce que la réalité du terrain lui fasse voir ce métier (et la mission de la Corporation) sous un autre jour…

Je ne peux que vous inviter à découvrir l’histoire d’Hamlet Evans ! Une très belle aventure spatiale, où les artistes occupent une place de choix. 

Rafael Marin – La Geste d’Hamlet Evans – Août 2024 – Argyll

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Gideon la Neuvième – Tamsyn Muir

25 mardi Juin 2024

Posted by Aurélie in Fantastique, Fantasy, Romans étrangers, SF

≈ 5 Commentaires

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Actes Sud, Babel, conseils de lecture, Critique de livre, Fantastique, Fantasy, Gideon la Neuvième, idées de lecture, lecture, Livres, quoi lire, SF, SFFF, Tamsyn Muir, Tombeau Scellé

Tamsyn Muir - Gideon la NeuvièmeLes premières phrases

«  En l’an Myriade de notre Seigneur, la dix millième année du Roi Immortel, le bienveillant Prince de la Mort, Gideon Nav prit son épée, ses bottes et ses magazines pornos et s’évada de la Neuvième Maison. » 

Circonstances de lecture

Parce que j’adore les livres inclassables.

Impressions

Gideon Nav en a plus que marre de croupir au milieu de nonnes sclérosées et de squelettes décérébrés. C’est sûr, aujourd’hui, elle va s’évader de la Neuvième Maison, dresser son majeur à la face de Harrowhark Nonagesimus, la Respectable Fille de la Neuvième Maison, nécromancienne osséo et principale responsable de sa vie misérable. Reste qu’avant de pouvoir tracer son chemin, elle va devoir rendre un dernier service à son ennemie d’enfance : participer avec  Harrowhark à une sélection pour qu’elle devienne Lycteure, autrement dit serviteur éternel de l’Empereur.

J’ai adoré cette lecture ! Tamsyn Muir a écrit un roman inclassable, un mélange des genres parfait entre fantasy (et ses combats à l’arme blanche), space-opera et fantastique. Le tout sur un ton totalement décalé. Les réparties de Gideon sont particulièrement savoureuses et j’ai ri à de nombreuses reprises à l’écouter parler avec sa verve trash et en inventant des noms d’oiseaux jouissifs (le « bordel de b*** » m’aura fait rire aux éclats !). Vous l’aurez compris, j’ai été dès les premières pages totalement emballée par notre héroïne rebelle, le visage peinturluré d’un maquillage morbide imposé par sa Maison, mais rehaussé de sa touche personnelle : des lunettes de soleil. Le lieu où se tient la sélection est particulièrement riche de mystères et de pièges. Et je me suis prise au jeu de savoir qui pourrait l’emporter, entre les représentants des neufs Maisons (merci à la liste des personnages au début du roman qui permet de s’y retrouver !).

Vous aimez la fantasy ? Vous êtes plutôt SF ? Vous adorez le fantastique ? Lisez Gideon la Neuvième ! Totalement inclassable, ce premier tome d’une tétralogie (que je vais m’empresser d’engloutir), est un remède efficace à la morosité et au stress ambiants.

Tamsyn Muir – Gideon la Neuvième – Octobre 2023 – Babel (les trois premiers tomes sont déjà parus, le dernier est attendu avec impatience !)

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Dévorer le futur – Camille Leboulanger

18 mardi Juin 2024

Posted by Aurélie in Romans français, SF

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Camille Leboulanger, conseils de lecture, Critique de livre, Dévorer le futur, Eutopia, idées de lecture, lecture, Livres, nouvelles, quoi lire, science fiction, SFFF

Camille Leboulanger - Dévorer le futurLes premières phrases

« Que penser de la mort en tant que service public ? Eh bien, à mon avis, (…) la mort devrait être un service public gratuit pour tout le monde (…) comme la naissance. »

Pierre Desproges

À Montfort-sur-Meuse, dans le Bas-Bavenois, les personnels du Centre mortuaire départemental Jacques Chirac tirent depuis plusieurs années la sonnette d’alarme quant à leurs conditions de travail et à l’impossibilité de remplir correctement leurs missions. Ils se heurtent d’un côté à la baisse continue du budget alloué à leur établissement, de l’autre à la concurrence ouverte d’agences mortuaires privées.

Adeline Garcia est décédée le18 janvier 2022. Nous la rencontrons dans le hall du Centre mortuaire départemental Jacques Chirac de Montfort-sur-Meuse, récemment rebaptisé pour commémorer la visite de feu l’ancien président de la République au cours de son dernier mandat. » 

Circonstances de lecture

Parce que j’aime beaucoup la collection Rechute des éditions Goater et que j’avais adoré le roman « Eutopia » de Camille Leboulanger.

Impressions

Le ton est donné dès les premières lignes, avec une citation de Pierre Desproges : « Que penser de la mort en tant que service public ? Eh bien, à mon avis, (…) la mort devrait être un service public gratuit pour tout le monde (…) comme la naissance. »

En onze nouvelles, Camille Leboulanger nous embarque dans des futurs (plus ou moins lointains), pour mieux critiquer notre société et ses travers, et l’absurdité des décisions prises par les humains. Une lecture de circonstances en ces temps politiques pour le moins chaotiques.

J’ai pris énormément de plaisir à lire ces nouvelles empruntant à différents genres. La première imagine, sur un ton journalistique, une société où les morts devraient faire la queue comme à la sécu pour pouvoir quitter ce monde et passer de l’autre côté. Le tout sous l’égide d’un service public défaillant dû notamment à un budget en baisse alloué par le ministère de la Mort et de l’Au-Delà.

Puis Camille Leboulanger utilise l’uchronie pour nous entraîner dans les rues de Paris le 31 juillet 1914 en imaginant ce qu’il se serait passé si Jean Jaurès avait survécu à sa tentative d’assassinat. Nous voilà ensuite propulsé dans l’espace au sein d’un chantier spatial où douze ouvriers habitant ensemble décident de faire grève. Dans la nouvelle « Planète Cité », l’auteur nous montre comment une planète s’est transformée pour devenir ce qu’elle est aujourd’hui : une seule et unique ville. Vous trouverez aussi une nouvelle axée sur l’abandon des territoires et l’écoterrorisme, une autre sur la montée des eaux et les OGM, une autre encore sur un facteur novice devant aller s’enquérir de l’état de santé d’une vieille dame via le service « Veiller sur mes parents » contracté par ses enfants. Avec « Circuit fermé », on retourne dans le cosmos auprès d’un navigateur se retrouvant éjecté de sa caravelle suite à une bataille contre la Fédération. Quant à la nouvelle éponyme du recueil, « Dévorer le futur », elle nous parle de la découverte d’une énergie nouvelle, l’énergie temporelle, dont j’ai particulièrement aimé la chute.

J’ai dévoré ce recueil qui dresse avec talent un portrait au vitriol de notre société et de ses futurs possibles si l’on continue à s’obstiner dans la voie actuelle. Il existe heureusement d’autres chemins possibles à imaginer pour celles et ceux souhaitant construire un autre monde plus désirable et plus humain. Lisez donc le roman « Eutopia » de Camille Leboulanger (publié aux éditions Argyll) après avoir lu ce recueil de nouvelles ! Vous verrez alors l’avenir d’un nouvel œil.

Mention spéciale au dessin de couverture de toute beauté signé Claire Malary.

Camille Leboulanger – Dévorer le futur – Novembre 2023 – Goater  

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