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~ Parce qu'il n'y a rien de mieux qu'un livre pour s'évader…

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Archives de Tag: L’iconoclaste

Seule en sa demeure – Cécile Coulon

08 dimanche Août 2021

Posted by Aurélie in Romans français

≈ 1 Commentaire

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Cécile Coulon, L'iconoclaste, lecture, Livres, quoi lire, rentrée littéraire, rentrée littéraire 2021, roman, Seule en sa demeure

Cécile Coulon - Seule en sa demeureLes premières phrases

«  Par un beau dimanche de mars, où le soleil poussait doucement l’hiver hors des forêts obscures, Jeanne Marchère mourut dans la travée principale de la petite église des Saints-Frères.

Elle avançait, devant son fils et son époux, le dos bien droit, trois nattes de cheveux blonds enroulées à la nuque. Au-dessus des statues aux yeux blancs, les vitraux surplombaient la nef. « 

Circonstances de lecture

Parce que Cécile Coulon est mon autrice chouchou 🙂 …

Impressions

Cette fois-ci, Cécile Coulon nous emporte dans le Jura, avec une intrigue dans la lignée de Rebecca de Daphné du Maurier. Un mariage arrangé au 19ème siècle, une demeure lovée au cœur des bois, une première épouse morte quelques mois après les noces, un mari pieux et droit, une nouvelle épouse de plus en plus oppressée par ces lieux, et une servante aux petits soins… Il n’en fallait pas plus pour créer une histoire pleine de mystères, dont la tension va crescendo jusqu’à la toute dernière page. Merci Cécile Coulon de nous livrer de si beaux romans !

Cécile Coulon – Seule en sa demeure – Août 2021 – L’Iconoclaste

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Kerozene – Adeline Dieudonné

14 mercredi Avr 2021

Posted by Aurélie in Romans français

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Adeline Dieudonné, Kerozene, L'iconoclaste, lecture, Livres, quoi lire, roman

Les premières phrases

«  23h12. Une station-service le long de l’autoroute, une nuit d’été. Si on compte le cheval mais qu’on exclut le cadavre, quatorze personnes sont présentes à cette heure précise. « 

Circonstances de lecture

Parce que j’avais beaucoup aimé le premier roman d’Adeline Dieudonné, La vraie vie.

Impressions

Le deuxième roman d’Adeline Dieudonné sent le bitume, l’essence, la sueur, le gel désinfectant, les feuilles mortes, le sexe, le prosecco, les chips et le sang. Elle dresse ici une galerie de personnages qui nous font passer du rire aux larmes, de la monotonie de la vie à la stupeur. On s’esclaffe, surpris par le cours de leurs pensées et des événements. Un livre totalement déjanté, horriblement drôle, oscillant entre comédie et drame sanglant. Attention, après l’avoir lu, vous ne verrez plus les dauphins de la même façon…

Adeline Dieudonné – Kerozene – avril 2021 – L’iconoclaste

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Liv Maria – Julia Kerninon

19 mercredi Août 2020

Posted by Aurélie in Romans français

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Critique de livre, idées de lecture, Julia Kerninon, L'iconoclaste, lecture, Liv Maria, Livre, portrait de femme, quoi lire, rentrée littéraire 2020, roman

Les premières phrases

«  Mes parents font l’amour et je ne suis pas encore là.

Quand ils escaladent l’escalier de leur chambre, juste après le déjeuner, et qu’ils s’enfouissent sous les duvets de leur lit bateau, je regarde les mouvements de reins de mon père et je m’étonne qu’un homme d’un mètre quatre-vingt-dix et de cent vingt kilos puisse onduler comme ça. Seuls les petits pieds de ma mère dépassent du cadre de bois sculpté. Secrètement, je m’imagine que, la nuit, mes parents retrouvent la même taille, que la nuit ils sont égaux.  »

Circonstances de lecture

Parce que j’aime cette maison d’édition.

Impressions

« Comment se tenir là, dans cette vie, avec le souvenir de toutes ses autres vies contradictoires ? » Liv Maria, c’est l’histoire d’une femme plurielle, comme chacun d’entre nous finalement. Une petite fille grandissant sur une île bretonne, une jeune fille de 17 ans partant précipitamment pour Berlin, une jeune femme se cherchant, revenant au pays natal pour mieux repartir en voyage, du Chili à l’Irlande. Une amoureuse, une solitaire, une maîtresse, une mère, une femme d’affaires, un être libre faisant des choix, difficiles, vitaux, irréversibles. Mais qui est-on vraiment, au fond ? C’est autour de cette question et du thème de la fuite que tourne le roman de Julia Kerninon. Un très beau portrait de femme.

Julia Kerninon – Liv Maria – août 2020 – L’iconoclaste

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Une bête au paradis – Cécile Coulon

30 mardi Juil 2019

Posted by Aurélie in Romans français

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Cécile Coulon, Critique de livre, idées de lecture, L'iconoclaste, lecture, Livre, quoi lire, rentrée littéraire, Rentrée littéraire 2019, roman, Une bête au paradis

Les premières phrases

«  De chaque côté de la route étroite qui serpente entre des champs d’un vert épais, un vert d’orage et d’herbe, des fleurs, énormes, aux couleurs pâles, aux tiges vacillantes, des fleurs poussent en toute saison. Elles bordent ce ruban de goudron jusqu’au chemin où un pieu de bois surmonté d’un écriteau indique :

VOUS ÊTES ARRIVÉS AU PARADIS

En contrebas, le chemin, troué de flaques brunes, débouche sur une large cour : un rectangle de terre battue aux angles légèrement arrondis, mangé par l’ivraie.  »

Circonstances de lecture

Parce que c’est Cécile Coulon.

Impressions

Le nouveau roman de Cécile Coulon sent la campagne à plein nez. Mais pas celle des cartes postales ou des vacances d’été idylliques. Dans « Une bête au paradis », l’air transpire de bouse de vache, de la sueur du labeur, des groins couinant des cochons, du caquètement vorace des poules, du sexe des hommes et des femmes. Tout cela dans l’univers clos du « Paradis », une ferme tenue par des femmes. L’amour, la mort, la trahison et la vengeance bestiale font peser sur ce roman une tension palpable dès les toutes premières lignes. C’est beau, poignant, envoûtant, noir et violent tout à la fois. Ce roman pique les yeux et le ventre. Cécile Coulon rappelle ici qu’on est, au fond, tous des bêtes  et que ce côté animal en nous peut ressortir de bien des façons.

Un passage parmi d’autres

 Le lit de Gabriel ressemblait au frère de Blanche : défait mais accueillant. Maintenant qu’elle y passait ses nuits, Aurore comprenait qu’elle ne soignerait pas Gabriel, qu’il y avait en lui un arbre noir depuis l’enfance, que la mort de ses parents avait arrosé de colère ; elle ne pouvait pas le tomber, cet arbre, seulement couper quelques branches quand elles devenaient trop encombrantes. Elle le rafraîchissait, le frictionnait de ses mots et de son sourire, elle le secouait pour que tombe de son âme des feuilles mortes et des fruits empoisonnés.

Cécile Coulon – Une bête au paradis – août 2019 (L’iconoclaste)

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La vraie vie – Adeline Dieudonné

22 jeudi Nov 2018

Posted by Aurélie in Romans français

≈ 2 Commentaires

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Adeline Dieudonné, Critique de livre, idées de lecture, L'iconoclaste, La vraie vie, lecture, Livre, quoi lire, rentrée littéraire, roman

Les premières phrases

«  A la maison, il y avait quatre chambres. La mienne, celle de mon petit-frère Gilles, celle de mes parents et celles des cadavres.

Des daguets, des sangliers, des cerfs. Et puis des têtes d’antilopes, de toutes les sortes et de toutes les tailles, springboks, impalas, gnous, oryx, kobus… Quelques zèbres amputés du corps. Sur une estrade, un lion entier, les crocs serrés autour du cou d’une petite gazelle.

Et dans un coin, il y avait la hyène.  »

Circonstances de lecture

Parce que ce livre fait tant parler de lui qu’il fallait bien que je m’y plonge.

Impressions

On parle beaucoup de ce roman d’Adeline Dieudonné. Et je comprends maintenant pourquoi. Ce livre se lit en quelques heures, d’une traite. Si l’histoire n’est pas originale en soi, l’écriture d’Adeline Dieudonné nous emporte dès les premières lignes sur les pas d’une petite fille de dix ans qui tente par tous les moyens de redonner le sourire à son petit-frère, victime d’un traumatisme. Ses parents, il ne faut pas compter sur eux… Entre une mère transparente qui semble plus aimer ses biquettes que ses enfants, et un père violent, adepte de la chasse, des coups de poing, et de la domination, notre héroïne n’est pas aidée… « La vraie vie » est une histoire terriblement touchante, un beau roman noir sur l’enfance et la famille, et le combat que certains doivent mener pour s’en sortir, survivre et braver le destin. « La vraie vie » remue, énerve, prend aux tripes. Un très bon premier roman.

Un passage parmi d’autres

 Cette histoire faisait peur à Gilles.

Le soir, il venait parfois se blottir dans mon lit parce qu’il croyait entendre le chant du dragon. Je lui expliquais que c’était juste une histoire, que les dragons n’existaient pas. Que Monica racontait ça parce qu’elle aimait bien les légendes, mais que tout n’était pas vrai. Au fond de moi-même, il y avait quand même un léger doute qui se baladait. Et j’appréhendais toujours de voir mon père rentrer d’une de ses chasses avec un trophée de dragon femelle. Mais, pour rassurer Gilles, je faisais la grande et je chuchotais : »Les histoires, elles servent à mettre dedans tout ce qui nous fait peur, comme ça on est sûr que ça n’arrive pas dans la vraie vie ».

Adeline Dieudonné – La vraie vie  – août 2018 (L’Iconoclaste)

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Neverland – Timothée de Fombelle

06 mercredi Sep 2017

Posted by Aurélie in Romans français

≈ 2 Commentaires

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Critique de livre, idées de lecture, L'iconoclaste, lecture, Livre, Neverland, quoi lire, rentrée littéraire, rentrée littéraire 2017, roman, Timothée de Fombelle

Les premières phrases

«  Il y a dans les hauts territoires de l’enfance, derrière les torrents, les ronces, les forêts, après les granges brûlantes et les longs couloirs de parquet, certains chemins qui s’aventurent plus loin vers le bord du royaume, longent les falaises ou le grillage et laissent voir une plaine tout en bas, c’est le pays des lendemains : le pays adulte.

Les enfants qui vont près de cette lisière, au milieu des herbes plus hautes que leurs épaules, surprennent parfois en-dessous d’eux, dans le fond de la plaine, la mort ou des amoureux, par accident. Ces apparitions ressemblent à des éclats de verre au soleil. Elles éblouissent et disparaissent aussitôt, cachées par des nuages bas.

En retournant vers la forêt profonde avec leurs arcs et leurs flèches, les enfants croient oublier cette vision. Mais elle a semé en eux un noyau de cerise qui grandit déjà à l’intérieur.  »

Circonstances de lecture

Parce que j’avais adoré « Le Livre de Perle » du même auteur.

Impressions

« Neverland » est le premier roman dit « adulte » de Timothée de Fombelle (mais à vrai dire, ses livres jeunesse conviennent également très bien aux adultes !). « Neverland » est un véritable enchantement. Un gros coup de cœur de cette rentrée littéraire plutôt rébarbative. Timothée de Fombelle nous entraîne ici dans un voyage plein de poésie sur les traces de son enfance perdue. Il nous donne à lire un texte onirique, tout simplement magnifique. A lire d’une traite (il ne fait qu’une centaine de pages), comme un poème ! Magique.

Un passage parmi d’autres

 Il me semble seulement qu’un matin on se réveille adulte dans le regard des autres. On hésite un instant. On ne se sent ni préparé ni volontaire pour le voyage. Mais il y a ce regard, en face, qui nous considère, et puis cette aspiration lointaine, le vent de la plaine que l’on sent pour la première fois sous sa chemise et un petit tas de noyaux de cerises au fond de nous, qui fait un peu mal.

Ce qui nous attend est déjà là, en pièces détachées. Alors on fait semblant. Cela commence toujours ainsi. On fait semblant d’être grand. Et, dans le meilleur des cas, je crois, on fera semblant toute sa vie.

Timothée de Fombelle – Neverland – août 2017 (L’iconoclaste)

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