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~ Parce qu'il n'y a rien de mieux qu'un livre pour s'évader…

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Archives de Tag: Robert Laffont

Les Graciées – Kiran Millwood Hargrave

10 jeudi Sep 2020

Posted by Aurélie in Romans étrangers

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Critique de livre, idées de lecture, Kiran Millwood Hargrave, lecture, Les Graciées, Livre, Pavillons, quoi lire, rentrée littéraire 2020, Robert Laffont, roman, roman historique

Les premières phrases

«  La veille, Maren avait rêvé qu’une baleine s’était échouée sur les rochers en face de chez elle.

Elle descendait la falaise, marchait jusqu’à elle et, œil contre œil, enroulait ses bras autour de cette grande masse nauséabonde. Elle ne pouvait rien faire d’autre pour elle.   »

Circonstances de lecture

Comme une envie de faire un petit voyage en Norvège.

Impressions

Que des femmes puissent vivre sans les hommes, voilà une situation inacceptable pour le pouvoir en place en Norvège en 1617. Après avoir vu leurs hommes périr en mer à cause d’une violente tempête, les habitantes du village de Vardo ont pourtant bien dû se débrouiller, faire leur deuil et tenter de survivre sans pères, frères ni maris. Elles ont accepté de se retrousser les manches, d’en faire encore plus que d’ordinaire, d’aller pêcher en mer pour pouvoir simplement se nourrir, alors qu’aucune aide extérieure ne leur parvenait.

Mais voilà, cette indépendance féminine, certains hommes ne l’acceptent pas. C’est ainsi qu’Absalom Cornet, chasseur de sorcières, met les pieds à Vardo pour y remettre de l’ordre, avec sa toute jeune épouse, Ursa. Car, à ses yeux, la tempête n’était sûrement pas naturelle et les coutumes du peuple Sami, leurs runes, leurs chants et leurs prières sont forcément l’œuvre du diable.

Les personnages de ce roman vont me hanter encore longtemps… L’intrépide Kirsten, symbole même de la femme indépendante, la jeune Maren, vivant avec sa mère et sa belle-sœur Sami, Ursa, nouvelle épouse habituée à la grande ville de Bergen qui découvre la vie au nord du cercle polaire et la vie conjugale… Inspirée de faits historiques, cette  lecture révoltante laisse le cœur à vif.

Kiran Millwood Hargrave – Les Graciées – Août 2020 (Pavillons – Robert Laffont)

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La petite sonneuse de cloches – Jérôme Attal

16 lundi Sep 2019

Posted by Aurélie in Romans français

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Critique de livre, idées de lecture, Jérôme Attal, La petite sonneuse de cloches, lecture, Livre, quoi lire, rentrée littéraire, Rentrée littéraire 2019, Robert Laffont, roman

Les premières phrases

«  Pas un shilling en poche. Dormi en coups de sabre et rien avalé de solide depuis la veille au soir (une demi-brioche trempée dans un verre de thé). La saleté qui torpille dans Soho l’aveugle un court instant ; le passage d’une voiture de poste attelée de deux chevaux lancés à plein galop et qui racle l’effort de trottoir le projette contre une façade en briques; il comprend que ce qui le condamne le sauve à la fois : n’être qu’un corps réduit à un cœur qui bat.  »

Circonstances de lecture

Parce que le titre m’attirait.

Impressions

Voici un roman charmant, romantique, drôle, qui nous fait traverser le temps sur les pas de Chateaubriand en 1793. Le baiser avec une petite sonneuse de cloches à Westminster, que Chateaubriand évoque dans ses Mémoires d’outre-tombe, a-t-il réellement existé ? C’est sur les traces de ce baiser que Jérôme Attal nous invite à le suivre, sillonnant les rues de Londres, de 1793 à nos jours. Car Joachim, fils d’un éminent professeur de littérature, entend poursuivre la thèse de son père, décédé brusquement, autour des amours du célèbre écrivain. On se plaît à errer dans le Londres d’aujourd’hui et d’hier, sur les traces de ce baiser fugace.

Un passage parmi d’autres

 J’aurais voulu que le monde s’éteigne lentement dehors, par degrés. Extinction du monde à l’exception de nous deux. Qu’il s’éteigne lentement ou d’un coup sec, comme la minuterie au sous-sol de la bibliothèque à l’angle de Marylebone High Street et de New Cavendish Street. Toute ma vie, il me semblait avoir recherché des êtres qui me feraient vivre des « instants maison ». Ce que j’appelle des « instants maison » sont des instants où l’on se sent soi-même, à une distance la plus infime possible entre ce qu’on est et l’image qu’on se fait de sa présence sur terre, sans vouloir toujours chercher ailleurs, comme une âme errante, une personne de plus, prompte à nous réinventer.

Jérôme Attal – La petite sonneuse de cloches – 22 août 2019 (Robert Laffont)

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Frère de glace – Alicia Kopf

15 vendredi Fév 2019

Posted by Aurélie in Romans étrangers

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Alicia Kopf, Critique de livre, Frère de glace, idées de lecture, lecture, Livre, quoi lire, Robert Laffont, roman

Les premières phrases

«  D’abord sont apparus des icebergs tabulaires flottant dans la piscine municipale. Des narvals passaient par une fente du carrelage, au fond. Dans l’eau chlorée, je pressais de la main un morceau de glace blanche et je m’amusais à l’enfoncer et à le faire ressortir. Un rêve. Plus tard, au Musée d’Orsay à Paris, je voyais des calottes glaciaires dans les tutus bleus des ballerines de Degas.  »

Circonstances de lecture

Parce que j’étais intriguée par ce titre.

Impressions

« Frère de glace » est un livre ovni bien difficile à résumer. Entre thèse sur l’exploration des Pôles, ode aux grands explorateurs, journal intime, récit familial autour d’un frère autiste, Alicia Kopf explore ici sa propre vie d’artiste et tente de briser la glace pour se trouver elle-même et comprendre ce frère enfermé dans son monde.

Ce livre déroutant, je l’ai lu d’une traite, sans pouvoir m’arrêter, jusqu’à ce récit de voyage en Islande, pays de glace par excellence. La fascination de l’auteur pour les explorateurs des Pôles n’est sans doute pas étrangère à son désir de briser la glace entourant son frère et sa volonté à elle de se faire comprendre par sa famille. Briser la glace, explorer ses failles, aller au bout du monde pour se trouver, se libérer et pouvoir enfin être soi… Voici un livre déroutant, inclassable et fascinant.

Un passage parmi d’autres

 Chaque mois, tout ce que nous n’avons pas pu acheter, et que nous n’achèterons pas les mois suivants, finit quelque part, là-bas, sous la glace. Les amours platoniques forment des cristaux et ils restent eux aussi coincés sous la neige. Ces désirs insatisfaits, quand ils sont nombreux, provoquent des fissures qui ressortent sur la peau de notre front. Il arrive que la glace fasse glisser et tomber dans des failles plus profondes. Au terme d’un temps très long il peut se produire un dégel et tout ce qui se trouve en dessous émerge, comme les mammouths dans les plaines sibériennes en été. Les restes sont humides et sentent très mauvais. Nous n’en voulons plus. Nous pensons qu’ils n’en valent pas la peine. Que c’est de l’argent jeté par les fenêtres ou que l’amour pour cet autre est immérité.

Alicia Kopf – Frère de glace – janvier 2019 (Robert Laffont)

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La tête sous l’eau – Olivier Adam

24 vendredi Août 2018

Posted by Aurélie in Jeunesse, Romans français

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Critique de livre, idées de lecture, La tête sous l'eau, lecture, Livre, Olivier Adam, quoi lire, rentrée littéraire, rentrée littéraire 2018, Robert Laffont, roman

Les premières phrases

«  Voilà. Je suis dans ma nouvelle chambre. Ma nouvelle maison. Loin de toi. Dehors il fait beau. La plage est bondée. Tout le monde a l’air heureux. La mer est belle. Qu’est-ce que j’en ai à foutre ? 

Je suis désolée. Je sais que j’ai foiré nos adieux (« nos au revoir », me corrigeras-tu). Que je me suis comportée comme une merde. Que ce n’est pas à toi que je devais m’en prendre. Mais à mes parents et à eux seuls. Je leur en veux tu sais. A mort. J’ai décidé de leur tirer la gueule jusqu’à la fin de mes jours. Ils vont s’en bouffer les doigts. Mais qu’est-ce que ça change ? Ça ne fait pas une semaine que je suis ici et tu me manques.  »

Circonstances de lecture

Parce que c’est Olivier Adam.

Impressions

Avec « La tête sous l’eau », Olivier Adam nous replonge dans les affres de la disparition d’un être cher, thème déjà abordé dans « Je vais bien, ne t’en fais pas », que j’avais adoré. Classé en littérature jeunesse (mais pourquoi ?!), ce roman est à mettre aussi bien entre les mains des ados avertis, que des adultes. Si vous avez aimé les précédents romans de l’auteur, les livres de Nina LaCour, « Nous, les menteurs » d’E. Lockhart ou encore « Thirteen reasons why », vous devriez aimer ce nouveau roman d’Olivier Adam, arrivé en librairie le 23 août. Je l’ai lu en une après-midi. Difficile de le lâcher avant la fin ! Ce livre se dévore.

Antoine nous parle de sa famille, complètement perdue depuis la disparition il y a plusieurs mois de sa grande sœur, Léa. Cet ado asthmatique introverti noie son chagrin dans la Manche, où il s’adonne quotidiennement au surf. Et puis voilà que la police retrouve Léa, en vie mais mutique. Que lui est-il arrivé ? Comme toujours, Olivier Adam parvient avec justesse à décrire une crise familiale, et les sentiments de chacun, tout en entraînant ici son lecteur dans une enquête menée tambour battant. Addictif, stressant, bouleversant, un très bon Olivier Adam !

Un passage parmi d’autres

 Ils s’étonnent de ma nouvelle passion pour le surf, de ma résistance à l’eau gelée, moi qui l’été, lorsque nous venions ici pour les vacances, grelottais de froid à la moindre baignade, rechignais toujours à plonger dans les vagues, me plaignais du vent permanent et des nuages qui même au 15 août venaient par instants masquer le soleil. Ils s’en inquiètent aussi. Trouvent que je me renferme sur moi-même, plus qu’avant encore si c’est seulement possible, que je suis trop solitaire, mutique. Selon eux ces longues heures que je passe au milieu de l’eau ne sont pas pour arranger les choses. Plus qu’un traitement, ils y voient un symptôme. Une fuite. Une façon très littérale de noyer mon chagrin. De me laver le cerveau à l’eau de mer. Ils n’ont peut-être pas tort. Mais pour ma part, je ne me livre pas à ce genre d’analyse. Les choses se sont produites malgré moi, sans que j’y réfléchisse vraiment.  L’été dernier, après la disparition de Léa, ils m’ont inscrit à un stage. Ils pensaient que ça me ferait du bien, que ça m’offrirait quelques heures de répit et d’apaisement au milieu de ces journées hallucinées, traversées de douleur et d’effroi. Dans la foulée, je me suis acheté une planche et c’est devenu une drogue. Chaque matin je me lève en pensant au moment où, sorti du lycée, je pourrai enfiler ma combinaison et me faire malmener par la Manche.

Olivier Adam – La tête sous l’eau – août 2018 (Robert Laffont)

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Le Jeu de l’Ange – Carlos Ruiz Zafon

10 dimanche Fév 2013

Posted by Aurélie in Romans étrangers

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Carlos Ruiz Zafon, Critique de livre, L'Ombre du Vent, Le Jeu de l'Ange, Pocket, Robert Laffont, roman

Les premières phrases

Carlos Ruiz Zafon - Le Jeu de l'Ange«  Un écrivain n’oublie jamais le moment où, pour la première fois, il a accepté un peu d’argent ou quelques éloges en échange d’une histoire. Il n’oublie jamais la première fois où il a senti dans ses veines le doux poison de la vanité et cru que si personne ne découvrait son absence de talent, son rêve de littérature pourrait lui procurer un toit sur la tête, un vrai repas chaque soir et ce qu’il désirait le plus au monde : son nom imprimé sur un misérable bout de papier qui, il en est sûr, vivra plus longtemps que lui. Un écrivain est condamné à se souvenir de ce moment, parce que, dès lors, il est perdu : son âme a un prix.

Ce moment, je l’ai connu un jour lointain de décembre 1917. J’avais alors dix-sept ans et travaillais à La Voz de la Industria, un journal au bord de la faillite qui végétait dans une bâtisse caverneuse, jadis siège d’une manufacture d’acide sulfurique, dont les murs sécrétaient encore une vapeur corrosive qui rongeait le mobilier, les vêtements, les cerveaux et jusqu’à la semelle des souliers. Elle se dressait derrière la forêt d’anges et de croix du cimetière du Pueblo Nuevo et, de loin, sa silhouette se confondait avec celle des mausolées se découpant sur un horizon criblé de centaines de cheminées et d’usines qui faisaient régner sur Barcelone un perpétuel crépuscule écarlate et noir. »

Circonstances de lecture

Lu parce que j’avais beaucoup aimé L’Ombre du Vent.

Impressions

Un livre sombre dans une Barcelone étouffante, à la frontière du roman policier, du roman fantastique et de l’histoire d’amour. Le héros, un jeune écrivain, accepte d’écrire un livre pour une somme astronomique… vendant peut-être ainsi son âme au diable. Ici, l’atmosphère est beaucoup plus sombre que dans L’Ombre du Vent. On y retrouve cependant avec plaisir le style de Carlos Ruiz Zafon, le personnage de M. Sempere et le cimetière des livres oubliés. De très beaux passages.

Un passage parmi d’autres

 Mes seuls amis d’alors étaient d’encre et de papier. A l’école, j’avais appris à lire et à écrire bien avant les autres gamins du quartier. Là où les camarades voyaient de l’encre semée en chiures de mouche sur des pages incompréhensibles, je voyais de la lumière, des rues et des êtres humains. Les mots et le mystère de leur science cachée me fascinaient et m’apparaissaient comme une clef permettant d’ouvrir un monde infini, bien loin de cette maison, de ces rues et de ces jours opaques où, j’en avais déjà l’intuition, ne m’attendait qu’un avenir sans intérêt. Mon père n’aimait pas voir des livres à la maison. Il y avait chez ceux-ci, outre les lettres qu’il ne pouvait déchiffrer, quelque chose qui l’offensait. Il me répétait qu’il me mettrait au travail dès que j’aurais dix ans, et que mieux valait m’ôter toutes ces lubies de la tête parce que, sinon, je ne serais jamais qu’un pauvre type et un crève-la-faim. Je cachais les livres sous mon matelas et attendais qu’il soit sorti ou endormi pour les lire.

Le Jeu de l’Ange – Carlos Ruiz Zafon – 2009 (Robert Laffont)

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