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~ Parce qu'il n'y a rien de mieux qu'un livre pour s'évader…

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Archives de Tag: Livres

Les nuits sans Kim Sauvage – Sabrina Calvo

29 vendredi Nov 2024

Posted by Aurélie in Romans français, SF

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conseils de lecture, Critique de livre, idées de lecture, La Volte, lecture, Les nuits sans Kim Sauvage, Livres, Mode, quoi lire, Sabrina Calvo, SF, Thriller

Sabrina Calvo - Les nuits sans Kim SauvageLes premières phrases

«  À l’enfance !

Impression de plages au bord du mur de l’Atlantique – bunkers sous un ciel d’oiseaux morts. Les vagues se hissaient, leurs crêtes brisées en mousse à l’écume. Dans cette transparence dérivaient les méduses au courant ascendant, descendant. Elles s’échouaient sur le sable – cerveaux s’opacifiant. Accroupie sur la rive je tâtais d’un bout de bâton leur agonie dans l’espoir peut-être d’y percer l’abcès de mon innocence

Le jour de mon sixième anniversaire j’ai trouvé le courage d’en toucher une du doigt. »

Circonstances de lecture

Parce que ce texte est publié par La Volte.

Impressions

Voici une lecture totalement barrée que j’ai adorée ! Mixez une chanson de Laurent Voulzy avec une enfant abandonnée en mal d’amour, un monde futuriste cyberpunk où la mode prime sur tout et où la limite entre le virtuel et le réel est de plus en plus flou. Ajoutez à cela une relation amoureuse avec une IA, une plage de méduses, et une quête menant jusqu’à la mort de Lady Di. Ce mélange vous paraît hautement improbable ? Effectivement ! Mais sachez que cela fonctionne parfaitement ! Au final, vous obtiendrez un roman mixant SF et thriller, à la fois déjanté, poétique et bourré d’émotions. Le tout servi par la plume superbe de Sabrina Calvo.  Ce roman se savoure. Prenez plaisir à vous perdre dans les méandres de ce Paris obnubilé par la mode. Suivez Vic dans sa quête d’un vêtement mythique, mais surtout dans sa quête d’elle-même. C’est drôle, furieux, triste, mélancolique, et lumineux. Surtout, on se sent libre en le lisant, libre de corps et d’esprit. Sentez-vous libre de lire ce texte à voix haute afin d’en goûter tout le sel !

Sabrina Calvo – Les nuits sans Kim Sauvage – Septembre 2024 – La Volte

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Monstres ordinaires – J.M. Miro

18 lundi Nov 2024

Posted by Aurélie in Fantastique, Romans étrangers

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conseils de lecture, Critique de livre, Fantastique, idées de lecture, JMMiro, lecture, Livres, Monstres, quoi lire

J.M. Miro - Monstres ordinairesLes premières phrases

«  La première fois qu’Eliza Grey posa les yeux sur le bébé, c’était au crépuscule, dans un wagon de marchandises qui avançait au ralenti sur une portion de rail balayée par la pluie, cinq kilomètres à l’ouest de Bury St Edmunds, Suffolk, Angleterre. Elle était âgée de seize ans, illettrée, naïve, les yeux noirs comme la pluie, affamée, car elle n’avait pas mangé depuis deux jours, sans manteau ni chapeau, car elle s’était enfuie dans le noir sans réfléchir à l’endroit où elle irait ni à ce qu’elle ferait. Sa gorge portait toujours la marque des pouces de son employeur ; ses côtes, les hématomes laissés par ses bottes. Dans son ventre grandissait l’enfant dont il était le père, quoiqu’elle ne le sache pas encore. L’homme gisait, mort, dans sa chemise de nuit, une épingle à cheveux plantée dans l’œil. »

Circonstances de lecture

Parce que ce titre m’intriguait.

Impressions

J’avais envie d’une lecture sombre et Monstres ordinaires a parfaitement répondu à mes attentes. Un mystérieux institut recueille des enfants étranges, dotés de talents pour le moins extraordinaires. Deux détectives parcourent le monde pour les retrouver et les ramener à Cairndale, avant que des créatures effrayantes ne s’en emparent.

D’emblée, J.M. Miro nous plonge dans une ambiance poisseuse où la survie de ses personnages ne semblent tenir constamment qu’à un fil. L’auteur, également poète, dépeint parfaitement les lieux, des rues humides et brumeuses de Londres, à la moiteur du Mississippi, en passant par l’Écosse et Tokyo. Monstres Ordinaires a quelque chose de très cinématographique. J.M. Miro prend son temps pour dépeindre les scènes, permettant d’imaginer avec facilité et détails les lieux de son histoire. En 700 pages, il nous embarque dans un grand roman fantastique, à mi-chemin entre Charles Dickens, Ransom Riggs (Miss Peregrine et les enfants particuliers) ou encore Stephen King, avec quelques passages me rappelant Harry Potter (l’enfant miraculé, le pensionnat), mais en une version beaucoup plus sombre et nuancée. Ici, les personnages semblent toujours hésiter entre le bien et le mal, échappant ainsi à tout manichéisme. Et c’est ce qui m’a particulièrement plu dans ce roman, tout comme les personnages particulièrement attachants… ou/et  répugnants. Voici un premier tome qui m’aura transportée dans une ambiance de cauchemars où la frontière entre le monde des vivants et des morts est de plus en plus poreuse. Une lecture marquante à conseiller aux amateurs d’aventures fantastiques et horrifiques.

À noter : le tome 2 sera publié le 12 décembre 2024.

J.M. Miro – Monstres ordinaires – Mars 2023 – De Saxus – traduit de l’anglais (Canada) par Thibaud Eliroff

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Life L1K3 – Humanité 3.0 – Jay Kristoff

11 lundi Nov 2024

Posted by Aurélie in Romans étrangers, SF

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Android, conseils de lecture, Critique de livre, Humanité 3.0, IA, idées de lecture, Jay Kristoff, lecture, Life L1K3, Livres, lois de la robotique, quoi lire, robots, SF

Jay Kristoff - Life L1K3Les premières phrases

«  They kill my father first.

Shiny boots ring on the stairs as they march into our cell, four of them all in a pretty row. Blank faces and perfect skin, matte gray pistols in red, red hands. A beautiful man with golden hair says they’re here to execute us. No explanations. No apologies.

My father turns toward us, and the terror in his eyes breaks my heart to splinters. I open my mouth to speak to him, but I don’t know what I’ll say. »

Circonstances de lecture

Parce que c’est Jay Kristoff.

Impressions

Après avoir adoré Nevernight et, encore plus, L’Empire du Vampire, je ne pouvais pas résister à cette trilogie SF de Jay Kristoff ! Alors, je ne vais pas vous mentir, ce tome 1 ne vaut pas mes lectures précédentes de Jay Kristoff, mais il n’en demeure pas moins que j’ai passé un très bon moment de lecture, et que je lirai la suite sous peu. Car Jay Kristoff nous plonge dans un monde post-apo cyberpunk très convaincant, avec de l’action, des rebondissements et de l’émotion à revendre. Entre les robots, les méchas ou encore les IA, l’auteur s’amuse à détourner les trois lois de la robotique d’Asimov. Surtout, il traite de l’humanité et du vivant, sous toutes ses formes, et c’est cette réflexion qui rend ce livre vraiment intéressant. Vous vous attacherez forcément à son héroïne Eve, sa meilleure amie Lemon, son grand-père,  l’android Ezekiel ou encore au robot Cricket. Et puis que dire de cette fin, qui donne une toute autre dimension à l’histoire ? Si j’avais vu venir certains rebondissements, j’avoue m’être laissée berner par Jay Kristoff ! C’est en somme un premier tome addictif, qui pâtit juste d’un aspect un peu trop Young Adult à mon goût.

À noter : cette trilogie arrive le 14 novembre en VF chez De Saxus, dans un coffret intégral, sous le titre Humanité 3.0.

Jay Kristoff – Life L1K3 – Mai 2018 – Knopf (chez De Saxus le 14 novembre 2024 en VF)

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Les champs de la Lune – Catherine Dufour

09 samedi Nov 2024

Posted by Aurélie in Romans français, SF

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Ailleurs & Demain, écologie, Catherine Dufour, conseils de lecture, Critique de livre, Dystopie, idées de lecture, jardin, lecture, Les champs de la Lune, Livres, quoi lire, Robert Laffont, robots, SF, Utopie

Catherine Dufour - Les champs de la luneLes premières phrases

«  Longtemps, les rapports de la ferme Lalande ont commencé par :

RFL 26/12/2324 – TI + 8 ∂° C – TE + 123 ∂° C – TR 1.3 mSv/h – AS 237 20

Dernièrement, on m’a demandé d' »améliorer le confort de lecture des destinataires » de mes rapports. On m’a demandé de « télécharger une bibliothèque » et de m’en inspirer « pour rédiger davantage, en apportant un soin particulier à la contextualisation ».

Trym m’a expliqué :

– Tes rapports sont trop techniques. En plus, on n’y comprend rien si on n’a pas tout lu depuis le début. Miaou.

Ce chat est meilleur que moi en relationnel. Je vais donc essayer, dans mes rapports, d’aller au-delà des faits. Il est vrai que les faits sont répétitifs. Mais je dois en user, car je ne dispose de rien d’autre. »

Circonstances de lecture

Parce que cette couverture signée Aurélien Police m’a immédiatement attirée, tout comme l’idée de s’occuper d’un jardin sur la lune !

Impressions

Ce roman commence tout doucement, comme un livre de Becky Chambers. Catherine Dufour nous décrit le quotidien d’El-Jarline, une fermière prenant soin d’un écosystème abrité sous un dôme sur la Lune. Sa ferme est la dernière avant la cité soulunaire de Mut qu’elle approvisionne en légumes et fleurs. El-Jarline y travaille avec son chat amélioré Prym, des robots de jardinage et des drones d’entretien. Chaque jour, elle envoie un rapport minutieux à la Commanderie, signalant l’état de santé de ses plantes, la menace de propagation d’une plante invasive (la minicola), ou encore l’apparition d’une fissure d’étanchéité sur une plaque du dôme. Sa vie est rythmée par son travail, l’aube solaire, les marées thermiques et les tremblements de Lune. Elle aime à discuter avec son chat Prym, au sujet des citadins vivant en sous-terrain, de la fièvre aspic qui y sévit et pour laquelle nul remède n’a encore été trouvé, ou encore des robots fous qui parcourent la surface lunaire. Et puis, un jour, un petit grain de sable, sous l’apparence d’une fillette, vient rompre la monotonie de son quotidien. El-Jarline va commencer à voir le monde différemment. Et petit à petit, la douceur des premières pages va laisser place à des réflexions plus graves et plus profondes.

Catherine Dufour aura su m’attirer dans ses filets. J’en ressors un peu ébranlée, tiraillée entre la douceur du jardin d’El-Jarline, le soin qu’elle porte à ses plantes, et la noirceur de certains passages. Un travail d’équilibriste parfaitement maîtrisé. Je ne peux que vous inviter à vous rendre sur la Lune, au côté de cette Jardinière au calme apaisant dont les réflexions ne pourront que trouver écho en vous si vous êtes sensibles au passage du temps, à la contemplation de la nature, et à l’avenir du vivant.

Catherine Dufour – Les champs de la Lune – Septembre 2024 – Robert Laffont, Ailleurs & Demain

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Pour ne rien regretter – Henri Loevenbruck

03 dimanche Nov 2024

Posted by Aurélie in Romans français, SF

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écologie, conseils de lecture, Critique de livre, Dystopie, Henri Loevenbruck, idées de lecture, lecture, Livres, Nous revions juste de liberté, Pour ne rien regretter, quoi lire, roman militant, SF, XO Editions

RAS7_POUR_NE_RIEN_REGRETTER.inddLes premières phrases

«  Je m’appelle Véra et je voulais vous parler du bruit de la pluie sur la tôle ondulée, qui fait drôlement de peine, comme bon souvenir. Vous savez, ces premiers ploc, ploc, qui cognent contre le zinc, l’un après l’autre, et puis qui deviennent de plus en plus rapprochés, de plus en plus forts, clapotent joliment au-dessus de nos têtes jusqu’à former un bourdonnement continu qui nous berce et nous protège et nous borde pour nous endormir. Chaque fois que j’entends le bruit de la pluie sur la tôle ondulée, chaque fois que je respire cette odeur de poussière mouillée, ça me fait comme si je mordais dans la fameuse madeleine de monsieur Proust : je suis transportée dans ma petite chambre sous les toits, et j’ai toutes mes années de quand j’étais jeune qui me reviennent, avec bonheur et mauvaise compagnie.

Je m’appelle Véra parce que mes parents m’ont donné le nom d’une petite fille qui était morte, et c’est pas toujours évident de porter le nom d’une morte, au niveau du devoir. Mais c’est un joli prénom, tout de même, et avec seulement quatre lettres, en plus. Véra, c’est « voir » au futur, ce qui est déjà pas mal, comme ambition. À l’envers, ça fait « a rev », et c’est encore mieux pour l’espérance. »

Circonstances de lecture

Parce que j’avais beaucoup aimé « Nous rêvions juste de liberté » du même auteur.

Impressions

Lire Pour ne rien regretter, c’est voir le monde à travers les yeux de Véra, une petite fille qui se coltine un certain monsieur Asperger, qui lui fait voir le monde sous un angle un peu différent, avec des mots qui sonnent bon la poésie, l’enfance, la nature et l’honnêteté. Véra, pour ceux qui ont lu Nous rêvions juste de liberté, c’est la fille spirituelle de Bohem, ce héros épris de liberté dont le destin m’avait écorché le cœur, l’enfant de Mélaine et Mani – pour ceux qui savent – celle que Freddy a pris sous son aile et qu’il considère comme sa nièce. Véra, elle a le parler juste des gens qui se fichent bien du regard des autres. Véra, elle invente des expressions qui font sourire et qui donnent du baume au cœur même quand dehors comme dedans tout va mal. Véra, elle comprend pas pourquoi les grosses multinationales elles ont le droit de tout détruire, les beaux paysages comme les gens qui travaillent pour elles. Et cette incompréhension va se muer au fil du temps en rébellion, à travers la rencontre d’un petit groupe de militants écolos.

Avec cette suite indirecte de Nous rêvions juste de liberté, Henri Loevenbruck livre un roman dystopique tellement réaliste qu’on se dit que c’est là que nous nous dirigeons allègrement, les bras grands ouverts, les yeux bien clos, la tête enfoncée dans les réseaux sociaux et le déni pour ne surtout pas voir qu’on va droit dans le mur, qu’on y est même déjà un peu, beaucoup. Un roman coup de gueule, mais le tout délivré avec de l’émotion à fleur de peau, à travers les yeux de Véra, cette héroïne ordinaire absolument inoubliable. Alors, oui, lisez ce livre avec le risque de sentir les larmes glisser sur vos joues et de vous faire dresser les poings, signes qu’il y a encore de l’espoir. Il suffit « juste » de réagir.

Henri Loevenbruck – Pour ne rien regretter – Octobre 2024 – XO Editions

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Ecowarriors – Jean-Marc Ligny

25 vendredi Oct 2024

Posted by Aurélie in Romans français, SF

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écologie, conseils de lecture, Critique de livre, ecowarriors, idées de lecture, Jean-Marc Ligny, lecture, Livres, Mu, pacifisme, quoi lire, roman militant, SF, violence

Jean-Marc Ligny - EcowarriorsLes premières phrases

«  Au début, tout se passe plutôt bien. Ce sont près de trois mille manifestants, issus de multiples organisations, qui parviennent à bloquer l’autoroute A7 au niveau du chantier de la future bretelle de contournement sud de Lyon. La fameuse bretelle qui devrait permettre de gagner un quart d’heure de trajet pour l’aéroport Saint-Exupéry et qui, pour cette raison « d’intérêt public », va détruire des milliers d’hectares de terres agricoles, de bois et forêts, de marais et prairies. Le chantier n’en est qu’à ses débuts, telle une métastase terreuse qui enfle aux abords de l’A7, mais nul doute qu’il va rapidement éventrer la campagne si personne ne l’arrête.
Il sont là pour l’arrêter, justement. »

Circonstances de lecture

Parce que ce texte de SF parle d’écologie et de révoltes.

Impressions

Voici un livre militant, violent, terriblement réaliste, qui montre notamment comment des citoyens ordinaires peuvent soudain se transformer en militants violents et prêts à tout pour défendre une cause qui leur paraît juste. Car comment réussir à faire passer un message et à transformer la société quand la seule réponse provenant des instances gouvernementales est la violence policière ? Les manifestations non violentes peuvent-elles suffire ? Les discours (qu’ils soient oraux ou tagués sur les murs) sont-ils suffisants pour changer les mentalités et modifier en profondeur nos façons d’appréhender le présent pour construire un avenir meilleur ?

C’est de cette thématique ô combien actuelle que traite Jean-Marc Ligny dans ce roman profondément militant, mené à cent à l’heure. Alors, si certains passages peuvent paraître un peu trop manichéens, si les scènes de sexe m’ont souvent fait lever les yeux au ciel, si le changement d’un des protagonistes m’a paru bien soudain, je ne peux que conseiller la lecture de cet ouvrage. Car il a le mérite de montrer de manière réaliste l’impasse dans laquelle nous nous trouvons aujourd’hui, l’immobilisme de notre société capitaliste et des décisionnaires. Surtout, il questionne sur le recours à la violence comme moyen de révolte, que l’on soit un militant écolo ou un jeune de banlieue. Quand tout a été essayé, comment répondre à la manipulation médiatique, à l’indifférence des politiques, à la violence physique des forces de l’ordre ? Jusqu’où peut-on aller pour faire triompher ses idéaux ? Jusqu’où peut-on aller pour assouvir sa soif de vengeance ? La violence peut-elle être acceptable ? Jusqu’où faudra-t-il aller pour changer notre société au lieu de la voir sombrer dans le chaos et le non-sens ? Je vous laisse y réfléchir. Le débat est ouvert, urgent, et d’intérêt général.

Jean-Marc Ligny – Ecowarriors – Octobre 2024 – Mu

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L’imaginaire au pouvoir – Vincent Gerber

21 lundi Oct 2024

Posted by Aurélie in Essais, Romans français, SF

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conseils de lecture, Critique de livre, essai, idées de lecture, L'imaginaire au pouvoir, Le passager clandestin, lecture, Livres, quoi lire, science-fiction politique, Utopie, vincent gerber

Vincent Gerber - L'imaginaire au pouvoirLes premières phrases

«  « Alors là, vous nagez en pleine science-fiction ! » Hier comme aujourd’hui, cette exclamation a toujours eu le chic de balayer d’un revers de la main tout discours un peu trop hors du cadre ou ambitieux. Gotlib s’était fait le plaisir d’y consacrer un épisode fameux de ses Rubrique-à-Brac : taxer quelqu’un d’utopiste, l’accuser de verser dans la science-fiction, c’est le mettre hors-jeu pour nous laisser, « nous », les gens réalistes, nous occuper des affaires concrètes de ce monde.

Pourtant, j’avoue sans honte faire partie de celles et ceux qui aimeraient voir la science-fiction s’inviter plus souvent à la table du débat politique. »

Circonstances de lecture

Parce que je suis convaincue que la science-fiction est politique et qu’une utopie peut être réaliste.

Impressions

Voici un essai passionnant sur le potentiel politique de la SF et le pouvoir de l’imaginaire. Une lecture qui aide à appréhender l’avenir hors du modèle capitaliste. Et oui, la SF est politique. Et oui, un autre monde est possible. Ou plutôt, d’autres chemins, au pluriel.

Dans cet essai très digeste, Vincent Gerber démontre toute l’utilité de la SF, capable de réinventer notre réalité et d’imaginer des futurs possibles. Face à la collapsologie, au chaos climatique, à l’impasse capitaliste, aux guerres interminables, on n’a jamais eu autant besoin d’utopies. L’auteur s’empare ainsi de textes de science-fiction engagés pour ouvrir le champ des possibles et montrer ce lien existant entre SF et politique. Ursula K. Le Guin, Alain Damasio, Michael Moorcok, Kim Stanley Robinson, Ada Palmer, Camille Leboulanger, Margaret Killjoy, et bien d’autres, sont ainsi cités à travers les pages de cet essai.

« L’inertie constitue bel et bien la première force politique aujourd’hui, dans son aversion pour toutes velléités de changement (et l’instabilité qu’il sous-tend), explique Vincent Gerber. Pour cette raison, la littérature, et la culture avec elle, ne doit jamais cesser son travail. Un travail de critique, d’avertissement, et d’interprétation du réel. Il ne s’agit pas de convertir les gens, de leur apporter des solutions clé en main, mais « de les amener à se poser leurs propres questions, pour atteindre leurs propres réponses ». À force d’opposer l’imaginaire au réel, nous passons à côté d’un fait : le réel est façonné de toutes pièces, et en grande partie par nos imaginaires.« 

Vincent Gerber nous propose de nous extirper de notre présent sclérosé pour nager en pleine science-fiction, et ainsi redonner espoir en l’avenir. « L’espoir doit l’emporter sur le réel et sur la peur du changement, conclut-il. L’espoir d’un avenir à gagner face à tout ce que nous avons à perdre au présent« . Vous l’aurez compris, j’ai adoré cet essai et je le conseille à toutes les personnes se questionnant sur notre avenir. 

Vincent Gerber – L’imaginaire au pouvoir – Octobre 2024 – le passager clandestin


À lire pour aller plus loin :

  • Eutopia de Camille Leboulanger (Argyll)
  • Le ministère du futur de Kim Stanley Robinson (Bragelonne)
  • Pourquoi lire de la science-fiction et de la fantasy (et aller chez son libraire) d’Ariel Kyrou et Jérôme Vincent (ActuSF)

 

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Une valse pour les grotesques – Guillaume Chamanadjian

11 vendredi Oct 2024

Posted by Aurélie in Fantasy, Romans français

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Aux Forges de Vulcain, conseils de lecture, Critique de livre, Fantasy, Guillaume Chamanadjian, idées de lecture, lecture, Livres, quoi lire, SFFF, Une valse pour les grotesques

Les premières phrases

«  Regardez-nous, regardez-nous.

Le temps se dilate au moment précis où nous posons le pied sur le plateau du vieux cimetière. Les herbes folles s’écartent sur notre passage. Nous errons un temps dans les travées creusées de lézardes, usées par les terres acidifiées sous les aiguilles de pin et écrasées par un soleil brûlant. « 

Circonstances de lecture

Pour l’auteur !

Impressions

Imaginez une ville érigée sur les flancs d’une montagne enneigée, à ses pieds un grand lac, à son sommet un palais imposant et fier. Les rues de cette cité, les toits du palais, regorgent de grotesques, ces statues représentant des créatures étranges empruntant à de nombreux mythes. Et puis, soudain, une mélodie résonne et vous ressentez au plus profond de vous une subite envie de danser une valse à trois temps.

Il était une fois un enfant faune, un étudiant en médecine à l’âme d’artiste, un mystérieux manuscrit, un astrologue millénaire, des jumeaux attirants et glaçants tout à la fois, une jeune femme guidée par la vengeance et le défi de l’impossible.

Il était une fois une valse à trois temps rythmée par le pouvoir de l’imagination, la magie et la liberté des arts, et surtout par la nécessité de rire ! 

Si une larme glisse sur votre joue en refermant ce roman, c’est que la fiction aura trouvé – et rattrapé – le chemin de votre réalité, et que la plume de Guillaume Chamanadjian aura réussi à vous toucher. 

Guillaume Chamanadjian – Une valse pour les grotesques – Octobre 2024 – Aux Forges de Vulcain

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La Fille du roi des Elfes – Lord Dunsany

08 mardi Oct 2024

Posted by Aurélie in Fantasy, Romans étrangers

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Callidor, Célia Beauduc, conseils de lecture, Critique de livre, Fantasy, idées de lecture, La Fille du roi des Elfes, lecture, Livres, Lord Dunsany, quoi lire, SFFF

Lord Dunsany - La Fille du roi des ElfesLes premières phrases

«  Vêtus de leurs traditionnelles vestes de cuir, hautes en couleur, qui leur descendaient jusqu’aux genoux, les hommes des Aulnes se présentèrent devant leur souverain, vieillard imposant à la tête chenue. Celui-ci les reçut dans sa longue salle carmin. Confortablement installé sur son trône sculpté, il écouta leur porte-parole.

Tels furent ses propos :

– Pendant sept cents ans, les chefs de votre ascendance nous ont admirablement gouvernés. Leurs hauts faits sont chantés par les jeunes ménestrels qui nous les font revivre dans leurs ballades argentines. Pourtant, les générations se succèdent et rien de nouveau ne se produit.

– Quel est donc votre souhait ? s’enquit le souverain.

– Nous voudrions être gouvernés par un seigneur doté de pouvoirs magiques.

– Qu’il en soit ainsi, reprit le monarque. Cela fait cinq cents ans que le parlement n’a pas adressé de requête et il en sera toujours fait selon la volonté du peuple. Vous vous êtes exprimés. Qu’il en soit donc ainsi. »

Circonstances de lecture

Qui pourrait résister à cette beauté ?

Impressions

Cette lecture hors du temps fait un bien fou ! Ce roman merveilleux, édité pour la première fois il y a tout juste cent ans, n’a pas pris une ride. D’autant que les éditions Callidor ont eu la très bonne idée de le rééditer en lui offrant un écrin superbe, illustré par Célia Beauduc.

Lord Dunsany, grâce à sa magie des mots, nous embarque dans un conte de fées intemporel situé au Val des Aulnes, un pays d’Hommes jouxtant le pays des Elfes. Grâce à la plume onirique de Lord Dunsany, on ressent la beauté des paysages de la campagne anglaise, la fraîcheur du vent soufflant sur les champs, le souffle des renards courant aux côtés d’une licorne échappée du monde enchanté, les pas légers du jeune chasseur intrépide, la ténacité et la folie d’un roi n’aspirant qu’à retrouver l’être aimé, la magie de la sorcière et celle du roi des Elfes, la frontière crépusculaire séparant les deux mondes, et la tristesse de la princesse Lirazel.

Surtout, on ressent le pouvoir du temps, ce temps si différent d’un monde à l’autre : trop pressé dans le monde des Hommes (nos contrées familières), quasiment à l’arrêt au royaume des Elfes. Lord Dunsany nous entraîne au pays des rêves, tout en nous faisant réfléchir à la tyrannie du temps, au passage à l’âge adulte, à la peur de l’inconnu et de l’étranger, ou encore au pouvoir de l’imagination et à la magie de la nature que l’on a malheureusement tendance à ne plus contempler.

Cette lecture merveilleuse m’aura touchée en plein cœur, me faisant vivre une parenthèse enchantée au ralenti, loin du temps accéléré et de l’urgence de notre monde moderne. Une pépite de la Fantasy !

À noter : Outre la couverture, Célia Beauduc a réalisé 15 illustrations qui parsèment le roman. À la fin de l’ouvrage, un cahier graphique présente  les différentes couvertures qu’a arboré au fil du temps ce classique de la Fantasy.

Lord Dunsany – La Fille du roi des Elfes – Octobre 2024 – Callidor (traduit de l’anglais par Brigitte Mariot)

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Des milliards de tapis de cheveux – Andreas Eschbach

07 lundi Oct 2024

Posted by Aurélie in SF

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Étiquettes

Andreas Eschbach, conseils de lecture, Critique de livre, Des milliards de tapis de cheveux, idées de lecture, L'Atalante, lecture, Livres, quoi lire, SF, SFFF

Andreas Eschbach - Des milliards de tapis de cheveuxLes premières phrases

«  Nœud après nœud, jour après jour, une vie durant, les mains de l’exécutant répétaient sans cesse les mêmes gestes, nouant et renouant sans cesse les fins cheveux, des cheveux si fins et si ténus que ses doigts finissaient immanquablement par trembler et ses yeux par faiblir de s’être si intensément concentrés – et pourtant, l’avancée de l’ouvrage était à peine perceptible ; une bonne journée de travail avait comme maigre fruit un nouveau fragment de tapis dont la taille approximative n’excédait pas celle d’un ongle. Mais, malgré tout, l’homme se tenait là, accroupi, courbé au-dessus du châssis de bois craquant sur lequel son père et le père de son père s’étaient penchés avant lui, avec sous les yeux le verre grossissant hérité de ses ancêtres et rendu presque opaque d’avoir tant servi, les bras appuyés sur une planche polie calée sous sa poitrine, et ne guidant l’aiguille qu’au seul bout de ses doigts. »

Circonstances de lecture

Parce que je voulais le lire depuis tellement longtemps !

Impressions

Imaginez une planète où chaque tisseur passe sa vie à créer un seul et unique tapis à partir des cheveux de ses femmes et de ses filles. Tapis qui sera vendu et permettra de faire vivre la prochaine génération. Tapis qui ira orner le magnifique palais de l’Empereur. Qu’il doit être grand ce palais pour pouvoir abriter autant de tapis ! Quel honneur pour les tisseurs de voir l’œuvre d’une vie orner le Palais des Étoiles ! Mais qu’en est-il de cette rumeur selon laquelle l’Empereur aurait abdiqué ? Pire, qu’il serait mort ? Et puis, est-ce une vie de ruiner ainsi sa santé à enchevêtrer des heures durant des cheveux si fins qu’ils brouillent les yeux et ruinent les doigts ? Et si ce mode de vie cachait autre chose ? Et si cet étranger venu d’ailleurs connaissait la vérité ? Et si…

Voilà un livre magnifique. En y pénétrant, on se croirait dans un livre de fantasy aux allures de contes des mille et une nuits. Chaque chapitre nous plonge dans la vie d’un protagoniste de cette histoire, du tisseur, au marchand, en passant par un flûtiste, un archiviste ou encore un rebelle. Et puis, très vite, on comprend que c’est un livre de SF, un de ceux qui resteront à jamais dans nos cœurs de lecteurs. Un de ceux qui dénoncent la folie des hommes de pouvoir et de l’endoctrinement. J’ai attendu longtemps avant de lire ce roman. N’attendez pas autant ! Lisez-le ! C’est une pépite !

Andreas Eschbach – Des milliards de tapis de cheveux – Novembre 2016 – L’Atalante (traduit de l’allemand par Claire Duval)

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